Ostéopathie fragilisante liée à la maladie de Parkinson : physiopathologie et prise en charge thérapeutique
- Le risque d'ostéoporose avec une diminution de la densité minérale osseuse ou la survenue de fractures de fragilité vertébrales et de hanche est plus élevé dans la maladie de Parkinson.
- Le risque de chute est également plus élevé dans la maladie de Parkinson.
- Une stratégie appropriée doit intégrer la réduction du risque de chute par la prise en charge physique et l'amélioration de la qualité osseuse par la correction de l'hypovitaminose D, et si nécessaire un traitement antirésorbeur, notamment l'acide zolédronique.
Liens d'interêts
A. Amouzougan, D. Dilly‑Duchez et T. Thomas déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
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Figure 1. Méta-analyse évaluant la diminution de la densité minérale osseuse dans la maladie de Parkinson [1].

Figure 2. Méta-analyse évaluant l’augmentation du risque de fracture dans la maladie de Parkinson [1].

Figure 3. Prévalence de l’insuffisance en vitamine D chez les patients atteints de maladie de Parkinson, les patients atteints de maladie d’Alzheimer et les témoins en bonne santé appariés [13].

Figure 4. Facteurs de risque d’ostéoporose [14].

Figure 5. Proposition d’algorithme de prise en charge thérapeutique de l’ostéoporose en présence de la maladie de Parkinson.
