Dossier

Ostéopathie fragilisante liée à la maladie de Parkinson : physiopathologie et prise en charge thérapeutique

Mis en ligne le 28/02/2022

Auteurs : A. Amouzougan, D. Dilly-Duchez, T. Thomas

  • Le risque d'ostéoporose avec une diminution de la densité minérale osseuse ou la survenue de fractures de fragilité vertébrales et de hanche est plus élevé dans la maladie de Parkinson.
  • Le risque de chute est également plus élevé dans la maladie de Parkinson.
  • Une stratégie appropriée doit intégrer la réduction du risque de chute par la prise en charge physique et l'amélioration de la qualité osseuse par la correction de l'hypovitaminose D, et si nécessaire un ­traitement antirésorbeur, notamment l'acide zolédronique.
Liens d'interêts

A. Amouzougan, D. Dilly‑Duchez et T. Thomas déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.

auteurs
Dr Adamah AMOUZOUGAN

Médecin, Rhumatologie, CHU de Saint-Étienne, Saint-Etienne, France

Contributions et liens d’intérêts
Pr Thierry THOMAS

Médecin, Rhumatologie, CHU de Saint-Étienne , Saint-Étienne, France

Contributions et liens d’intérêts
centre(s) d’intérêt
Neurologie
thématique(s)
Neuromusculaire
Mots-clés