Quand aréflexie n'indique pas neuropathie
Liens d'interêts
T. Lenglet déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
Autres articles sur « Neuromusculaire »
Envoyer à un confrère
Merci de saisir l’e-mail de votre confrère :
Figure 1. Deux exemples de potentiation après un effort bref de 10 secondes. À gauche, le couple médian/APB avec une amplitude mesurée à 1,6 mV avant effort (A1) passant à 6,2 mV (A2) au décours immédiat d’un effort de 10 secondes, puis retour progressif à l’amplitude initiale (A5). À droite, le couple ulnaire/ADM avec une amplitude avant effort de 0,8 mV (A1), passant à 3,2 mV (A2) au décours de l’effort bref, soit une potentiation de 378 %, puis retour progressif à l’amplitude initiale.

Figure 2. Deux exemples de décréments à 3 Hz. À gauche, couple fibulaire/TA, décrément de 40 % à la 5e stimulation et aspect en cupule. À droite, couple médian/CAP, décrément qui se poursuit au-delà de la 5e stimulation jusqu’à 69 % après 10 stimulations. À noter dans les 2 cas, l’échelle de 500 µV/division qui indique des potentiels d’action moteurs d’amplitude réduite.

Figure 3. Examen de détection à l’aiguille dans le muscle tibial antérieur droit. En contraction tracé franchement myogène, excessif pour l’effort fourni et composé de PUM microvoltés et de durée réduite.
