Dossier

Quels sont les facteurs de risque susceptibles de prédire un syndrome post-commotionnel prolongé ? – Étude rétrospective à propos de 510 athlètes

  • Objectif : analyser les facteurs de risque de signes commotionnels persistants (> 2 semaines) et de syndrome post-commotionnel (> 3 mois).
  • Méthode : observation rétrospective de cohorte entre janvier 2015 et mars 2020. Consultation d'un neurologue spécialisé dans le diagnostic des commotions cérébrales.
  • Participants : 510 athlètes, tous sports confondus.
  • Critères d'inclusion : première consultation avec un neurologue dans un délai de 72 heures après la commotion suivie d'une seconde consultation validant la reprise de l'activité traumatique.
  • Facteurs étudiés : sexe, âge, nombre et date de survenue des commotions précédentes, sortie immédiate ou non de l'aire de jeu lors de la commotion, nombre de symptômes dans les 72 heures, perte de connaissance ou non, durée de l'amnésie rétrograde et antérograde.

 

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Liens d'intérêt

J.F. Chermann, F. Marty, A. Fantou déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt s en relation avec cet article.