Tribune
Reconnaître et traiter l'encéphalopathie de Gayet-Wernicke
- Mis en ligne le
- 30 juin 2018
- Auteur
Monsieur A., âgé de 43 ans, est adressé aux urgences par les pompiers pour alcoolisation aiguë (alcoolémie à 1,57 g/l) et intoxication médicamenteuse volontaire en utilisant son traitement habituel (quétiapine, diazépam, zopiclone). Il présente une alcoolodépendance depuis l'âge de 22 ans, avec consommation déclarée à 360 g d'alcool/jour (bières fortes) et des gamma-GT augmentées à 110 UI/l. L'évolution de la conscience du patient est rapidement favorable, mais, après 2 jours d'hospitalisation, il présente un épisode confusionnel sévère, sans signe…
L’accès à la totalité de l’article est protégé
Identifiant / Mot de passe oublié
Vous avez oublié votre mot de passe ? Merci de saisir votre e-mail. Vous recevrez un message pour réinitialiser votre mot de passe.
Vous avez oublié votre identifiant ? Consultez notre FAQ sur les problèmes de connexion ou contactez-nous
Vous ne possédez pas de compte Edimark ?Inscrivez-vous gratuitement
Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d’un email et d’un mot de passe. L’email est celui que vous avez renseigné lors de votre inscription ou de votre abonnement à l’une de nos publications. Si toutefois vous ne vous souvenez plus de vos identifiants, veuillez nous contacter en cliquant
ici
Liens d'intérêt
A. Dervaux déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Janssen, Lundbeck, Indivior, Otsuka sans rapport avec cet article.
B. Letiers déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.