Éditorial

Une singularité bien française


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Cet éditorial prolonge en quelque sorte les commentaires que l'on peut lire dans cette quatrième partie de l'Histoire des neuropathies périphériques. J'ai souligné les différences entre les conceptions françaises et anglo-saxonnes, ou même germaniques, concernant le fonctionnement des unités ou des services de neurologie.

Nous observons, en France, une séparation funeste entre la neurologie clinique − représentée par les traditionnels services cliniques de neurologie − et les explorations fonctionnelles − qui dépendent normalement de la discipline en question. Ce n'est pas le cas dans la plupart des autres pays, notamment dans les pays anglo-saxons, et ce n'est pas le cas non plus dans d'autres disciplines, comme la cardiologie, où les techniques d'exploration sont intégrées au sein même des services.


Cet éditorial prolonge en quelque sorte les commentaires que l'on peut lire dans cette quatrième partie de l'Histoire des neuropathies périphériques. J'ai souligné les différences entre les conceptions françaises et anglo-saxonnes, ou même germaniques, concernant le fonctionnement des unités ou des services de neurologie.

Nous observons, en France, une séparation funeste entre la neurologie clinique − représentée par les traditionnels services cliniques de neurologie − et les explorations fonctionnelles − qui dépendent normalement de la discipline en question. Ce n'est pas le cas dans la plupart des autres pays, notamment dans les pays anglo-saxons, et ce n'est pas le cas non plus dans d'autres disciplines, comme la cardiologie, où les techniques d'exploration sont intégrées au sein même des services.


Liens d'intérêt

P. Bouche déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.