Dossier

Activité physique dans les pathologies psychiatriques : mécanismes, effets et intérêt thérapeutique

Mis en ligne le 31/12/2022

Auteurs : L. Di Lodovico

  • L'activité physique peut avoir un rôle protecteur vis-à-vis de certaines pathologies psychiatriques, tandis que la sédentarité contribue au développement des troubles psychiatriques, comme les troubles anxieux et dépressifs.
  • L'activité physique représente un outil de prévention intéressant car elle peut influencer la neuro­plasticité cérébrale et avoir des effets sur les symptômes psychiatriques, cognitifs ainsi que sur la qualité de vie des patients souffrant de troubles psychiatriques.
  • L'activité physique peut faire l'objet d'une prescription médicale, impliquant notamment des enseignants d'activité physique adaptée.
  • Des professionnels de santé, comme les enseignants d'activité physique adaptée, ont pour objectif d'améliorer la qualité de vie et de promouvoir l'insertion sociale des patients par le biais de l'activité physique.
Liens d'interêts

L. Di Lodovico déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.

auteur
Dr Laura DI LODOVICO

Médecin
Psychiatrie
Clinique des maladies mentales et de l’encéphale, GHU Paris psychiatrie et neurosciences, Paris
France
Contributions et liens d'intérêts

centre(s) d’intérêt
Psychiatrie
Mots-clés