Activité physique dans les pathologies psychiatriques : mécanismes, effets et intérêt thérapeutique
- L'activité physique peut avoir un rôle protecteur vis-à-vis de certaines pathologies psychiatriques, tandis que la sédentarité contribue au développement des troubles psychiatriques, comme les troubles anxieux et dépressifs.
- L'activité physique représente un outil de prévention intéressant car elle peut influencer la neuroplasticité cérébrale et avoir des effets sur les symptômes psychiatriques, cognitifs ainsi que sur la qualité de vie des patients souffrant de troubles psychiatriques.
- L'activité physique peut faire l'objet d'une prescription médicale, impliquant notamment des enseignants d'activité physique adaptée.
- Des professionnels de santé, comme les enseignants d'activité physique adaptée, ont pour objectif d'améliorer la qualité de vie et de promouvoir l'insertion sociale des patients par le biais de l'activité physique.
Liens d'interêts
L. Di Lodovico déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
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