Association entre troubles psychotiques et migration : connaissances actuelles et implications cliniques
- Les données épidémiologiques démontrent chez les populations migrantes l'existence d'un risque près de 2 fois plus élevé de présenter des troubles psychotiques.
- Les personnes en demande d'asile et réfugiées constituent une population très à risque de troubles psychotiques.
- L'adversité sociale vécue durant la période postmigratoire, notamment la discrimination ethno-raciale, constitue un facteur de risque majeur de troubles psychotiques.
- L'interprétariat et l'humilité culturelle constituent des outils dans la démarche diagnostique et thérapeutique concernant les populations migrantes qui présentent des troubles psychotiques.
Liens d'interêts
E. Leaune déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
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