RÉSUMÉ
Le diagnostic de dysplasie coxofémorale chez le chien doit être réalisé le plus précocement possible et l'imagerie médicale est l'examen complémentaire de choix. La radiographie est de loin la technique d'imagerie la plus utilisée et la plus documentée sur ce sujet. La vue standard en extension permet de rechercher des signes d'arthrose précoce et de subluxation et demeure la référence pour les protocoles de notation officiels. Les techniques radiographiques en contrainte, comme la méthode PennHip, sont, quant à elles, plus sensibles pour détecter une hyperlaxité et permettent une bonne prédiction du risque de développer une arthrose grâce à la mesure de l'indice de distraction. Les techniques d'imagerie en coupe telles que le scanner et l'IRM, bien que prometteuses, ne sont pas encore validées comme des techniques de référence.
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Mathieu Harel déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.