Résultats pour « inhibiteur d’URAT 1 »

L’ensifentrine (RPL554) est le 1er représentant d’une nouvelle classe d’inhibiteurs des enzymes PDE3 et PDE4 combinant un effet bronchodilatateur et un effet anti-inflammatoire. Cette étude en groupes parallèles et dose unique a évalué l’effet de l’ensifentrine administré en ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'ERS 2019

Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal ciblant PD1 approuvé en monothérapie dans le cancer de l’endomètre MSI-H après échec d’une 1re ligne de traitement. Le lenvatinib est un inhibiteur de tyrosine kinase oral de VEGFR1-3, FGFR1-4, PDGFRα, RET et KIT.KEYNOTE-146 est une ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

Les tumeurs séreuses de bas grade représentent une minorité des cancers de l’ovaire. Elles sont caractérisées par un potentiel prolifératif plus faible que les cancers de haut grade, probablement à l’origine d’une moins bonne réponse aux chimiothérapies classiques. Les ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

La place des inhibiteurs de PARP s’accroît dans la prise en charge des cancers présentant des anomalies des gènes de réparation de l’ADN. J. De Bono nous a rapporté la prévalence des mutations des gènes impliqués dans les mécanismes de la HRR (réparation de la recombinaison ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

Faisant suite à une session présidentielle mémorable, nous avons eu la chance d’assister à une session orale de grande qualité, avec une fois n’est pas coutume, des données dans les cancers du col et de l’endomètre. Pour ces localisations, l’immunothérapie semble s’annoncer comme ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

L’absorption de l’erlotinib est dépendante du pH gastrique (1). Quand la prise d’erlotinib est concomitante d’un traitement qui diminue l’acidité gastrique, la biodisponibilité de l’inhibiteur de tyrosine kinase (ITK) est significativement réduite. À l’ESMO 2015, une étude ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-thoracique

L’osimertinib est un inhibiteur de tyrosine kinase d’EGFR (ITK-EGFR) de 3egénération efficace sur les mutations EGFR communes (L858R, Del ex19) et la mutation de résistance T790M. L’essai de phase III randomisé, FLAURA, comparait l’osimertinib à un bras contrôle d’erlotinib ou de ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-thoracique

En 1re ligne de traitement pour les patients atteints d’un carcinome urothélial métastatique et non fit pour le cisplatine, les options thérapeutiques donnent des résultats modestes : 36 % de réponse objective pour la combinaison carboplatine + gemcitabine (1) et 25 % pour les anti-PD-1(2). ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

OCTOPUS est un large essai randomisé de phase II de type umbrella dans lequel des patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire en rechute platine-résistantes sont traitées par paclitaxel hebdomadaire avec ou sans nouvelle thérapeutique. La voie PI3KCA– mTOR est fréquemment altérée ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

Cet essai de phase IB/II évaluait l’AVB500 (inhibiteur de haute affinité du complexe GAS6/AXL) en combinaison avec la chimiothérapie par paclitaxel hebdomadaire ou par doxorubicine liposomale pégylée (DLP) chez des patientes atteintes de cancer de l’ovaire en rechute platine-résistante, ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

Le traitement des carcinomes urothéliaux (CU) constitue un défi au-delà du doublet avec sels de platine, avec des taux de réponse compris entre 5 et 15 % pour la chimiothérapie. Les anticorps conjugués à un cytotoxique (ADC), bien connus dans le cancer du sein, ont fait leur apparition dans ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

VELIA est la 1re étude de phase III randomisée versus placebo à tester le véliparib en combinaison au carboplatine-paclitaxel (CP) en 1re ligne puis en maintenance chez les patientes avec un cancer de l’ovaire séreux de haut grade stade III ou IV. 1 140 patientes ont été randomisées ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

Les inhibiteurs de PARP (iPARP) confirment leur place majeure dans la prise en charge des cancers de l’ovaire, dès la 1re ligne de traitement. La démonstration en avait déjà été partiellement faite lors de l’ESMO 2018 pour les patientes avec une mutation BRCA lors de la présentation des ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-gynécologie

Durée : 3:47 ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-thoracique

L’acalabrutinb est un inhibiteur de BTK de seconde génération, ayant une sélectivité pour BTK bien supérieure à celle de l’ibrutinib, et permettant donc, en théorie, de diminuer les effets indésirables liés à l’inhibition d’autres cibles de la famille des Tec kinases. Dans cet ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’iwCLL 2019

L’inhibiteur de BTK ibrutinib induit des réponses fréquentes mais rarement des situations de maladie résiduelle (MRD) négative. Une équipe britannique s’est intéressée à la pertinence de la surveillance de la MRD sous ibrutinib en analysant les patients inclus dans l’essai IcICLLe ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’iwCLL 2019

L’émergence de nouvelles thérapies offre la perspective d’obtenir une maladie résiduelle indétectable (MRDi), témoignant d’une possible éradication de la maladie. L’inhibiteur de BCL2 vénétoclax est capable d’induire une MRDi, mais sa dynamique d’obtention ou de perte restait ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’iwCLL 2019

On ne va pas revenir à nouveau sur le choix, plus que discutable, du bras comparateur dans l’étude Resonate-2 (le chlorambucil). L’actualisation de cette étude apporte néanmoins des données intéressantes sur l’utilisation prolongée de l’ibrutinib en 1re ligne chez les patients ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’iwCLL 2019

L’inhibiteur de BCL2 vénétoclax induit une réponse rapide à l’origine d’un risque de syndrome de lyse (SLT) pouvant survenir dès les 6 à 8 heures suivant la 1re dose. La prévention de ce risque passe par : une évaluation tumorale préalable par TDM, une augmentation progressive des ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’iwCLL 2019

L’inhibiteur de BCL2 vénétoclax permet une réponse fréquente, y compris chez les patients présentant une altération de TP53, mais des cas de résistance émergent. Le vénétoclax n’échappe pas à la règle des thérapies ciblées en matière de résistance, résistance qui résulte ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’iwCLL 2019