Résultats pour « anaplastic lymphoma kinase (ALK) »

Les inhibiteurs de Janus Kinase (JAKi) ont intégré récemment l’arsenal thérapeutique de la polyarthrite rhumatoïde (PR). Une alerte de la FDA cet été a cependant jeté un froid en raison d’un potentiel excès de risque cardiovasculaire et néoplasique dans l’essai ORAL Surveillance, ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'American College of Rheumatology

L'avènement de l'immunothérapie comme pivot du traitement de 1re ligne a transformé l'algorithme du traitement de 2e ligne.Les anti-PD-1/PD-L1 en monothérapie, ancien standard de la 2e ligne, constituent une option désormais réservée aux patients non exposés à l'immunothérapie en ...

L’étude de phase II comparant l’évobrutinib (inhibiteur de la Bruton tyrosine kinase, BTKi) au placebo dans la SEP-RR a démontré des résultats favorables sur les paramètres traditionnels : nouvelles lésions T1 gadolinium (critère principal de jugement), nouvelles lésions T2 et taux ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’ECTRIMS

Les mutations d’HER2 comprenant majoritairement des insertions de l’exon 20, et plus rarement des mutations du domaine extracellulaire, sont présentes dans environ 2 % des CBNPC. Actuellement, le standard de traitement chez ces patients reste la chimiothérapie avec une efficacité ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

La prévalence de la dermatite atopique (DA) chez les adultes âgés de 65 ans et plus est d'environ 10 %. La crème de ruxolitinib est un inhibiteur de Janus kinase (JAK) 1/JAK2 en cours de développement pour le traitement de la DA.Dans deux études de phase 3 sur la DA de conception ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'EADV 2021

Le deucravacitinib est un nouvel inhibiteur oral, sélectif et allostérique de TYK2 qui atteint une grande sélectivité en se liant uniquement au domaine régulateur, plutôt qu’au domaine actif, de la kinase. Dans 2 essais de phase III, POETYK PSO-1 et POETYK PSO-2, le deucravacitinib a été ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'EADV 2021

L’urticaire chronique spontanée (UCS) peut persister plusieurs années, est associée à un prurit sévère, et peut avoir des impacts négatifs majeurs sur la qualité de vie.Malgré le traitement par des antihistaminiques H1 et l’omalizumab, une proportion significative de patients reste ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'EADV 2021

Les inhibiteurs de CDK4/6 font maintenant partie de l'arsenal thérapeutique du cancer du sein métastatique positif aux récepteurs hormonaux (RH) et n'exprimant pas HER2. L'objectif de cette revue est de décrire leurs principaux effets indésirables ainsi que leur gestion.L'effet indésirable ...

L'adénocarcinome du pancréas est un des cancers les plus mortels et est actuellement la 4e cause de mortalité par cancer en Europe. Cette situation dramatique est un véritable problème de santé publique, car l'incidence ne cesse de croître depuis les années 2000 et qu'à ce jour il ...

Les carcinomes bronchiques à petites cellules (CBPC) sont des carcinomes neuroendocrines de haut grade au comportement très agressif et au pronostic défavorable. Leur classification histologique ainsi que leur prise en charge thérapeutique ont été relativement peu modifiées ces ...

Bien que l'âge médian au diagnostic de cancer du rein en France soit de 67 ans chez l'homme et de 70 ans chez la femme, son incidence croît progressivement dans les 2 sexes à partir de l'âge de 30 ans pour atteindre sa valeur maximale entre l'âge de 80 et 84 ans (135,4 pour ...

Le panorama des thérapeutiques dans le cancer du rein avancé ou métastatique a été bouleversé ces dernières années avec, après les inhibiteurs de tyrosine kinase en 2006, l'arrivée des immunothérapies et des combinaisons. Cependant, la population âgée, bien que largement ...

Bien que l'âge médian au diagnostic de cancer du rein en France soit de 67 ans chez l'homme et de 70 ans chez la femme, son incidence croît ­progressivement dans les 2 sexes à partir de l'âge de 30 ans pour atteindre sa valeur maximale entre l'âge de 80 et 84 ans (135,4 pour ...

Le panorama des thérapeutiques dans le cancer du rein avancé ou métastatique a été bouleversé ces dernières années avec, après les inhibiteurs de tyrosine kinase en 2006, l'arrivée des immuno­thérapies et des combinaisons. Cependant, la population âgée, bien que largement ...

Jusqu’à récemment, le traitement du mésothéliome pleural malin (MPM) non résécable reposait uniquement sur la chimiothérapie. Depuis peu, l’arsenal thérapeutique s’est enrichi, avec l’arrivée de l’immunothérapie et notamment la combinaison nivolumab + ipilimumab (voir brève ...

Dans le cadre du Congrès ESMO - Actualités en onco-thoracique

Le mobocertinib est un inhibiteur de l’EGFR de type inhibiteur de tyrosine kinase, ciblant spécifiquement les mutations de l’exon 20, qui est aujourd’hui disponible en France dans le cadre d’une autorisation temporaire d’utilisation, chez des patients préalablement traités.Dans ...

Dans le cadre du Congrès ESMO - Actualités en onco-thoracique

Les populations d’origine asiatique, par un polymorphisme génétique et une pharmacocinétique spécifique, peuvent présenter une sensibilité particulière aux traitements anticancéreux. L’analyse de sous-groupes dans PALOMA-2 avait indiqué que palbociclib (PAL) + létrozole (LET) ...

Dans le cadre du Congrès ESMO - Actualités en onco-sénologie

Le cabozantinib comme les inhibiteurs de point de contrôle immunitaire n’ont pas encore fait leurs preuves dans le cancer de la prostate, avec des résultats d’efficacité limités en monothérapie. L’essai COMET-1 n’avait pas pu démontrer de bénéfice en survie globale du cabozantinib ...

Dans le cadre du Congrès ESMO - Actualités en onco-urologie

En plus des vaccins, la recherche portant sur les traitements en cas d’infection sévère à SARS-CoV-2 continue de s’intensifier. Du fait d’un potentiel effet protecteur vasculaire pulmonaire, l’imatinib, un inhibiteur de tyrosine kinase, a été testé à la dose de 100 mg puis 400 ...

Dans le cadre du Congrès D'après le congrès de l'European Respiratory Society

L’infection causée par le cytomégalovirus (CMV) reste responsable d’une importante morbimortalité en transplantation d’organe solide ou lors des greffes de moelle. En effet, les traitements habituels ne permettent pas toujours d’obtenir une clairance virale en raison des toxicités ...

Dans le cadre du Congrès Actualités en transplantation