Revue de presse

Phospho-tau : bienvenue 217, au revoir 181 ?

Composant protéique principal des dégénérescences neuro­fibrillaires, l'une des 2 lésions cardinales de la maladie d'Alzheimer, la protéine tau est naturellement une phospho­protéine. Cela signifie que ses acides aminés thréonine, sérine ou tyrosine peuvent acquérir un groupe phosphate par l'action de protéines kinases. Cette phosphorylation joue un rôle physiologique, influençant, par exemple, la capacité de fixation de tau au cyto­squelette micro­tubulaire. Elle joue également un rôle en pathologie : dans la maladie d'Alzheimer, la protéine tau est hyper­phosphorylée, modification…

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T. Lebouvier déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en ­relation avec cet article.