Revue de presse
Préférence pour le sucré et phénotypes de composition corporelle
- Mis en ligne le
- 20 juin 2025
- Auteur
La préférence pour le sucré est innée, mais elle n’est peut-être pas aussi universelle que l’on dit. Elle n’est pas non plus dichotomique entre ceux qui aiment et ceux qui n’aiment pas. A. Drewnowski avait montré, il y a longtemps, que la préférence pour le sucré était moins présente chez les obèses que chez les sujets minces, sauf lorsqu’il s’agissait d’une obésité instable (fluctuante), c’est-à-dire de personnes obèses au régime…
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