Dossier
Hypercalciurie et lithiases calciques non PTH-dépendantes
- Mis en ligne le
- 21 déc. 2025
- Auteurs
- La lithiase urinaire calcique est fréquente, récidivante et associée à des comorbidités, telles que l’hypertension artérielle, le diabète, l’ostéoporose et l’insuffisance rénale. L’hypercalciurie, l’hyperoxalurie et l’hyperuricosurie sont les principaux facteurs lithogènes urinaires. La lithiase calcique ainsi que l’hypercalciurie sont favorisées par des apports élevés en sel, en protéines animales et en oxalate et par des apports faibles en calcium. L’évaluation repose sur l’interrogatoire, l’analyse du calcul et une biologie standard sanguine et urinaire. La prévention de la récidive est principalement diététique : diurèse > 2,5 L/j, apports en NaCl < 5-6 g/j, apports en protéines ≤ 1 g/kg/j, apports en calcium normaux pour le sexe et l’âge.
Épidémiologie La lithiase urinaire est la plus fréquente des maladies rénales, en dehors de l’hypertension artérielle. Elle affecte 10 à 20 % de la population adulte des pays industrialisés, avec une prévalence estimée à ~13 % en France [1]. Sa fréquence, en constante augmentation, est parallèle à la progression de l’obésité et du diabète de type 2 (DT2) [2]. La récidive est fréquente : 10 % à 1 an, 30-50 %…
L’accès à la totalité de l’article est protégé
Vous souhaitez ajouter un article numérique à votre panier
NB: Vous disposez déjà de crédits d'articles ? Connectez-vous pour les utiliser.
Identifiant / Mot de passe oublié
Vous avez oublié votre mot de passe ? Merci de saisir votre e-mail. Vous recevrez un message pour réinitialiser votre mot de passe.
Vous avez oublié votre identifiant ? Consultez notre FAQ sur les problèmes de connexion ou contactez-nous
Vous ne possédez pas de compte Edimark ?Inscrivez-vous gratuitement
Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d’un email et d’un mot de passe. L’email est celui que vous avez renseigné lors de votre inscription ou de votre abonnement à l’une de nos publications. Si toutefois vous ne vous souvenez plus de vos identifiants, veuillez nous contacter en cliquant
ici
Liens d'intérêt
F. Brazier et D. Eladari déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.