Les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire sont utilisés en oncologie depuis quelques années. Ils ciblent les molécules de costimulation activatrices ou inhibitrices exprimées par les lymphocytes T ou leurs ligands exprimés par les cellules présentatrices d'antigènes. Bien qu'ils soient considérés comme une révolution thérapeutique, il existe des résistances primaires et secondaires à ces traitements. Les mécanismes de résistance peuvent être liés aux cellules tumorales elles-mêmes ou à leur microenvironnement. Leur compréhension est essentielle pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.
Vous possédez déjà un compte Edimark ?
Merci de saisir votre e-mail et votre mot de passe.
Identifiant ou mot de passe oublié
Besoin d'aide ?
Créer un compte
L. Mauge déclare avoir des liens d’intérêts avec Novartis et Pfizer (frais de congrès).
D. Helley déclare avoir des liens d’intérêts avec BMS (frais de congrès).
E. Tartour déclare avoir des liens d’intérêts avec Servier (Research grants), BMS, MSD (honoraires), BMS et AstraZeneca (Advisory Board).
E. De Guillebon, A. Saldmann et S. Séguier déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.