Revue de presse

PROSTATE – Ajustement des doses d'anti-PARP chez des patients présentant des perturbations du bilan hépatique ou rénal

Les inhibiteurs de PARP (Poly(ADP-ribose) poly­mérase) sont des petites molécules actives pour traiter les cancers présentant des altérations de la réparation de l'ADN, notamment de BRCA1/BRCA2 dans les cancers du sein, de l'ovaire, de la prostate et du pancréas [1-6]. Ces dernières années, 5 inhibiteurs de PARP ont été développés : l'olaparib, le talazoparib, le niraparib, le rucaparib et le véliparib (les 4 premiers enregistrés par la FDA dans diverses indications). Ces 5 anti-PARP sont principalement éliminés par le foie et le rein. Leur pharmacocinétique peut être modifiée…

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P. Beuzeboc déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.