Dossier

FGFR3 et autres marqueurs dans le cancer de la vessie

Plusieurs altérations moléculaires ont été individualisées au sein des tumeurs urothéliales. Celles-ci, en plus de permettre d’envisager une approche nosologique nouvelle, ont des applications pronostiques et/ou thérapeutiques. Cet article fait le point sur ces différentes altérations en précisant leur intérêt ainsi que les moyens de les mettre en évidence.

Les carcinomes urothéliaux infiltrant le muscle se situent au 8e rang des cancers les plus fréquents en France (5e chez l’homme) avec une incidence estimée à 14 062 cas tous sexes confondus en 2023 [1]. Les sels de platine (gemcitabine + cisplatine ou MVAC) constituent le traitement de 1re ligne des carcinomes ­urothéliaux envahissant le muscle. En néoadjuvant, ces traitements montrent des réponses partielles ou complètes dans 40 et 25 % des cas, respectivement [2]. En cas de réponse…

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P. Camparo déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.