Contexte Parmi les inhibiteurs de checkpoint, on compte les anti-PD1, dont 2 sont indiqués dans le mélanome (nivolumab et pembrolizumab) et 1 dans le carcinome épidermoïde avancé (cémiplimab), mais également les anti-LAG-3, où seul le relatlimab est approuvé dans le mélanome en Europe (et encore non remboursé en France). En effet, la combinaison relatlimab + nivolumab avait montré en 1re ligne métastatique un bénéfice en termes de survie sans récidive (SSR)…
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