Dossier

Cancers gynécologiques

  • L'immunothérapie devrait faire partie de l'arsenal thérapeutique dans les cancers de l'utérus (col et endomètre) dans les prochaines années, alors qu'elle peine à trouver sa place dans les cancers de l'ovaire.
  • Les inhibiteurs de PARP tiennent leurs promesses en 1re ligne dans les cancers de l'ovaire : faudra-t-il les associer systématiquement avec le bévacizumab et/ou un traitement d'immunothérapie ?
  • La place de l'hormonothérapie dans les cancers de l'endomètre avancés va-t-elle se renforcer grâce à des combinaisons avec les inhibiteurs de CDK4/6 ?

Après un ESMO 2019 exceptionnel pour l'oncogynécologie, l'édition virtuelle 2020 est-elle la promesse de nouvelles approches ?Les cancers de l'ovaireImmunothérapie IMagyn050 (Moore K et al., abstr. LBA31)L'étude de phase III IMagyn050 avait pour objectif d'évaluer la place de l'atézolizumab en combinaison avec le traitement de 1re ligne (carboplatine + paclitaxel + bévacizumab (CPB)) des cancers de l'ovaire de stade avancé. Le cocritère principal de jugement associait la survie sans progression (SSP) et la survie globale (SG) des patientes PD-L1+ (PD-L1 > 1 %). Sont rapportés ici uniquement les…

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Liens d'intérêt

T. de la Motte Rouge déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Clovis Oncology, GSK Tesaro, MSD, Novartis, Pfizer et Roche.

C. Lefeuvre déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Roche, Pfizer, Novartis et Pierre Fabre.