Revue de presse

Révision du paradoxe du fumeur à l’ère d’un sevrage tabagique optimisé

Depuis les données épidémiologiques de l’étude de Framingham (1), le tabac est reconnu comme un facteur de risque cardiovasculaire, en particulier de la maladie coronaire et de ses formes les plus aiguës, l’infarctus du myocarde et la mort subite de cause cardiaque (2-4). Paradoxalement, plusieurs études récentes ont suggéré que la mortalité précoce post-infarctus pourrait être plus basse chez les fumeurs que chez les non-fumeurs (5-7), de même que le taux de revascularisation itérative après angioplastie (8). Ces “paradoxes du fumeur” sont-ils bien réels, et autoriseraient-ils un laxisme dans…

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