Éditorial

Le 24e congrès mondial de la FIGO à Paris du 9 au 12 octobre !


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Cher(e)s collègues, cher(e)s ami(e)s,
C’est un privilège pour moi en qualité de rédacteur en chef de La Lettre du Gynécologue et de vice-président de la FIGO de vous inviter à participer au congrès mondial qui aura lieu porte de Versailles à Paris du 9 au 12 octobre prochain.

Je voudrais souligner quelques points importants :
  • C'est là toute première fois que ce congrès est organisé en France. Pour rappel, la précédente édition, qui devait avoir lieu à Sydney en 2021, a été organisée en virtuel en raison de la pandémie de Covid-19 et la précédente s’était tenue à Rio de Janeiro en 2018. Le dernier congrès FIGO organisé en terre francophone s’est déroulé à Montréal en 1994.
  • Le CNGOF, en la personne de sa présidente le Dr Joëlle Belaisch-Allart et des 3 secrétaires généraux, en est la société organisatrice. C’est une belle reconnaissance pour notre société savante mais aussi pour la FéGOG, présidée par le Pr Cheikh Cissé, et pour tous les pays francophones. Un tarif préférentiel est accordé aux membres du CNGOF et il est possible de ne participer qu’à une seule journée.
  • Quels que soient votre pratique et vos centres d’intérêt, tous les leaders du monde entier seront présents, le programme scientifique étant particulièrement attractif. C’est donc l’occasion unique de venir écouter les grands noms de la gynécologie-obstétrique près de chez soi, sans barrière linguistique puisque, contrairement à la plupart des congrès internationaux, toutes les communications bénéficieront d’une traduction simultanée dans les 3 langues de la FIGO (anglais, espagnol et français) et que 30 % des communications seront en français.
  • Une Keynote lecture sera présentée le 9 octobre par “l’homme qui répare les femmes”, Denis Mukwege, gynécologue congolais formé en France, prix Nobel de la paix 2018, que beaucoup d’entre vous ont pu applaudir à Paris en 2022 lors des Journées du CNGOF. La deuxième sera assurée par le Pr Alain Grégoire, psychiatre anglais parfaitement bilingue, qui a révolutionné la prise en charge psychiatrique ante- et postnatale.
  • Il s’agit d’un congrès exclusivement en présentiel, et ne doutons pas que nous serons heureux de revoir nos collègues et de partager des moments de convivialité.
  • Un partenariat a été établi avec Goknur Topçu, présidente de la WATOG (World Association of Trainees in Obstetrics and Gynaecology), et nos collègues de l’AGOF (Association de gynécologues-obstétriciens en formation). Des stages seront organisés pour les internes étrangers en amont du congrès. Que les universitaires qui n’auraient pas encore répondu me contactent s’ils peuvent et souhaitent accueillir de jeunes collègues étrangers.
  • Je voudrais également remercier les très nombreux collègues qui ont envoyé des propositions de communications orales ou des abstracts. Toutes n’ont pas pu être retenues, mais l’école française de gynécologie-obstétrique sera bien représentée et nous pouvons en être fiers !
  • Enfin, il faut rappeler que les congrès de la FIGO sont toujours des moments de socialisation importants, avec des soirées festives.

La ville lumière sera parée de tous ses atours pour accueillir les gynécologues du monde entier, et les amoureux du rugby puisque la Coupe du monde s’invitera en même temps à Paris !


Liens d'intérêt

P. Descamps déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet éditorial.