L’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un levier-clé pour transformer la pratique médicale, notamment en gynécologie. Bien que largement explorée en cancérologie, son utilisation dans les pathologies bénignes, comme l’endométriose, commence tout juste à révéler son potentiel. L’IA permet d’analyser des volumes massifs de données biologiques, cliniques ou d’imagerie, offrant des diagnostics plus précoces et précis. Des modèles avancés ont identifié des signatures microARN fiables, améliorant la détection et la caractérisation des phénotypes de la maladie. Cet article s’intéressera aux progrès permis par l’IA dans les différents champs de cette pathologie, du diagnostic à la prise en charge thérapeutique. Ces avancées promettent une médecine personnalisée, mais leur intégration clinique reste un défi, nécessitant validation, éthique et sensibilisation pour améliorer concrètement le parcours des patientes.
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Y. Dabi, C. Ferrier, M. Dahan, C. Touboul et E. Zerbib déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
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