Cas clinique

L'IRM est-elle vraiment normale ?

Une femme, âgée de 55 ans, traitée pour un glaucome, nous est adressée pour une baisse visuelle gauche progressive.


Cette patiente est traitée depuis 15 ans (2000) pour un glaucome pigmentaire et est actuellement sous trithérapie (timolol, dorzolamide, bimatoprost). Depuis 18 mois, elle se plaint d'une gêne visuelle gauche, et de brûlures, soulagées par des larmes artificielles. Une IRM cérébrale sans injection de produit de contraste est interprétée comme normale, mais ne comporte pas de coupes fines sur les voies visuelles.

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Liens d'intérêt

C. Vignal-Clermont déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.