Droit médical

Consentement aux soins : le droit et la raison

e droit a-t-il perdu la raison ? Telle est la question que se posent les praticiens, un peu sonnés par la nouvelle règle : c’est au médecin d’apporter la preuve qu’avant d’entreprendre les soins il a informé le patient de tous les risques graves, même s’ils sont exceptionnels. Et le juriste, à son tour, s’inquiète : comment tirer les fils de la compréhension entre le droit et la santé ? Car le droit et la santé doivent vivre ensemble et apprendre à se parler.

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