Dossier

Le sport et l’oxygène

Lorsque l’on fait varier la pression partielle en oxygène dans le sang (hypoxie ou hyperoxie) en aiguë ou en chronique, des adaptations locales et générales se mettent en place pour répondre à ce stimulus. Qu’elle soit combinée ou non à l’entraînement et à ses différentes modalités, on obtient ainsi un éventail de stimulations qui a des effets sur la performance. Les différentes modalités ainsi que leurs effets sur la performance sont succinctement décrits dans cet article.


La composition de l’atmosphère en oxygène (O2) et en gaz carbonique (CO2) a énormément varié au cours des centaines de milliards d’années d’évolution sur la Terre [1]. L’oxygène est progressivement apparu avec l’avènement de la photo­synthèse, et la fraction inspirée d’oxygène (FIO2) a varié, selon les modèles, entre 12 et 30 %, avec des conséquences concrètes sur le développement de la vie. Au cours des millions…

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Liens d'intérêt

S. Doutreleau déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.