Dossier

Maladies cardiovasculaires et métaboliques dans les troubles psychiatriques sévères

Mis en ligne le
31 déc. 2022
Auteur
  • O. Godin
  • L'espérance de vie des individus souffrant de troubles psychiatriques est diminuée de 10 à 20 ans par rapport à la population générale.
  • Les maladies cardiovasculaires sont la 1re cause de mortalité dans les maladies psychiatriques.
  • La prévention et le traitement des maladies cardiovasculaires dans cette population doivent être réalisés systématiquement dans une perspective de prise en charge globale.
  • Une collaboration étroite de l'ensemble des professionnels de santé est un élément essentiel pour une meilleure prise en charge des patients.
Aujourd'hui, les données de la littérature montrent très clairement une mortalité prématurée des personnes atteintes de troubles psychiatriques sévères par rapport à la population générale sans trouble psychiatrique, avec une espérance de vie diminuée de 10 à 20 ans et des taux de décès systématiquement supérieurs à ceux de la population générale, quelle que soit la cause de décès considérée [1]. Les maladies responsables de cette surmortalité (pathologies cardiovasculaires, diabète, etc.) sont insuffisamment dépistées et traitées. Dans cet article, nous faisons le point sur les rapports…

L’accès à la totalité de l’article est protégé

Achetez l'article
à partir de 8€
Achetez la revue
à partir de 43,00 €
Abonnez-vous
à partir de 126,00 €

Liens d'intérêt

O. Godin déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.