Tribune

En réponse à l’éditorial sur le baclofène

Dans un éditorial publié en septembre 2010, Renaud de Beaurepaire lance un plaidoyer flamboyant au profit du baclofène dans le traitement de l’alcoolodépendance. Il serait efficace pour le sevrage, efficace pour maintenir la sobriété et même apte à prévenir le craving. Pour certains utilisateurs, l’efficacité est évidente. Mais le succès attire les détracteurs. Beaucoup prétendent que le produit est sans utilité. Quelle erreur funeste ! Ne pas se servir du baclofène chez les buveurs est une erreur, plus qu’une faute : un crime.

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