Dr Jean-Baptiste ASSIÉ

Environ 20-25 % des patients atteints de CBNPC sont diagnostiqués à un stade opérable, mais 30-55 % des patients opérés récidivent. La chimiothérapie néoadjuvante, à l'instar de l'adjuvante, permet d'améliorer la survie de ces patients. Cependant, l'amplitude du bénéfice en ...

Depuis 1960, le traitement standard pour les CBNPC localisés est la lobectomie. Avec l'augmentation de la fréquence des scanners, notamment via le dépistage encore non recommandé actuellement, nous détectons plus précocement des petits nodules solides ou en verre dépoli. Pour ce genre ...

La mortalité par Covid chez les patients atteints de CBNPC est d'environ 30 % par rapport au 0,7-8 % pour la population générale. Les patients atteints d'un cancer ont été exclus des études princeps des différents vaccins et nous avons des données concernant la grippe validant le fait que ...

Le traitement standard de 1re ligne du mésothéliome pleural malin (MPM) est une chimiothérapie (CT) à base de sels de platine + pémétrexed ± bévaci­zumab. Cependant, les lignes ultérieures ne sont pas codifées. Plusieurs phases II ont montré l'intérêt des ...

Environ 3 % des CBNPC présentent une mutation HER2, notamment chez les femmes jeunes non fumeuses. Ces CBNPC ont un pronostic plus défavorable avec une plus forte incidence de métastases cérébrales. La thérapie ciblée anti-HER2 a révolutionné la prise en charge des cancers du sein et ...

Le pembrolizumab (anti-PD-1) est un traitement important en 1re ligne dans les CBNPC sans drivers oncogéniques et exprimant PD-L1 ≥ 50 %. Malgré son efficacité, presque 50 % des patients décèdent dans les 2 ans suivant son instauration ; d'autres thérapies sont donc nécessaires. ...

Pour les patients dont les tumeurs ne présentent pas d'anomalies d'EGFR ni d'ALK, les options de traitement de 1re ligne comprennent une monothérapie par inhibiteur de points de contrôle immunitaire, chez ceux ayant une forte expression de PD-L1, et des associations de chimio-immunothérapie ...

Des fusions peuvent survenir entre le domaine kinase de RET et divers gènes partenaires, induisant son activation constitutionnelle et, donc, l'oncogenèse. Ces fusions surviennent dans 1-2 % des CBNPC et semblent mutuellement exclusives des autres drivers oncogéniques. Le selpercatinib est ...

Durée : 6:48 ...

Dans le cadre du Congrès D'après le congrès virtuel de l'ESMO - Actualités en onco-thoracique