Dossier

Nouveautés dans la classification histomoléculaire des lymphomes T périphériques

  • Les lymphomes T périphériques sont rares et regroupent une trentaine d'entités hétérogènes, de pronostic généralement péjoratif, avec peu d'options thérapeutiques. La caractérisation du paysage moléculaire de chaque entité a permis d'affiner les critères diagnostiques, d'identifier des marqueurs pronostiques et de proposer de nouvelles stratégies thérapeutiques.

Les lymphomes T périphériques (LTP), en dehors de ceux à présentation cutanée qui ne seront pas traités ici, représentent moins de 7 % des lymphomes non hodgkiniens (LNH) et regroupent une trentaine d'entités [1, 2]. La classification OMS actualisée en 2017 intègre les avancées dans la connaissance des mécanismes physiopathologiques et du paysage phénotypique et moléculaire des LTP, ayant permis d'affiner leurs critères diagnostiques. Notamment, la reconnaissance de la nature TFH (T follicular helper) des lymphomes T angio-immunoblastiques (T-LAI)…

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Liens d'intérêt

F. Drieux déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.

P. Gaulard déclare avoir des liens d’intérêts avec Takeda, Gilead, Sanofi, Alderan et Innate Pharma.