Angiorésistance : mécanismes et physiopathologie
»» Cette approche pharmacologique a montré son efficacité anti-tumorale mais certains patients présentent une résistance primaire pour cette thérapie, et les autres patients répondeurs au début, finissent tôt ou tard par voir leur maladie progresser (résistance secondaire ou échappement).
»» De nombreux travaux ont identifié des biomarqueurs prédictifs de résistance primaire ou secondaire aux thérapies anti-angiogéniques. Ces résultats doivent être confirmés de façon prospective.
»» La physiopathologie de la résistance aux thérapies anti-angiogéniques est complexe et fait intervenir à la fois des mécanismes biologiques liés à la cellule tumorale et/ou au microenvironnement tumoral.
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