Dossier

De la difficulté d’évaluer la fonction ovarienne après une chimiothérapie

» La chimiothérapie entraîne une aménorrhée aiguë, potentiellement réversible, qui doit être distinguée d’une ménopause précoce. » La récupération de la fonction ovarienne après la chimiothérapie est inconstante et peut être différée dans le temps. Il n’existe pas de facteur prédictif individuel validé de la réversibilité de l’atteinte ovarienne. » L’hormone antimüllérienne (AMH) semble être un marqueur prometteur, mais ne permet pas encore de prédire la fertilité ultérieure des patientes. Des études complémentaires longitudinales de grande envergure sont nécessaires pour déterminer le moment…

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