Dossier

Lymphomes associés à l’infection par le VIH

Depuis 1996, date de l’introduction des trithérapies antirétrovirales, l’incidence des lymphomes non hodgkiniens (LNH) est en diminution, alors qu’il semble que l’incidence des lymphomes hodgkiniens (LH) augmente. L’étude française OncoVIH a mis en évidence que les LNH représentent la première tumeur chez le patient infecté par le VIH (21,5 %) et les LH la cinquième (7,6 %). Trois facteurs principaux sont impliqués dans la lymphomagenèse : le dysfonctionnement immunitaire, les virus oncogènes (virus d’Epstein-Barr et HHV-8) et les anomalies moléculaires. La prise en charge des patients infectés…

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