Revue de presse

Hypogammaglobulinémie et risque infectieux chez les patients SEP traités par rituximab

Mis en ligne le
30 nov. 2022
Auteur
  • B. Bourre
Le rituximab est largement utilisé chez les patients souffrant de SEP et il est associé à un risque d'hypogamma­globulinémie. Cependant, le lien entre cette dernière et le risque infectieux reste débattu. L'équipe de Marseille a analysé prospectivement les données de 188 patients atteints de SEP sous rituximab entre 2015 et 2020 [1], dont 151 étaient traités dans le cadre d'une SEP-RR. Ils avaient un âge moyen de 43,4 ans (± 12,9), une durée d'évolution médiane de la maladie de 10 ans (extrêmes : 0-36), un EDSS médian de 5 (extrêmes : 0-8) et un suivi médian de 3,5 ans (extrêmes : 1-5,8). 317 infections,…

L’accès à la totalité de l’article est protégé

Achetez l'article
à partir de 8€
Achetez la revue
à partir de 25,00 €
Abonnez-vous
à partir de 153,00 €

Liens d'intérêt

B. Bourre déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.