Une allergie peu connue : la sinusite fongique immuno-allergique
- Une patiente âgée de 50 ans consulte pour une rhinite allergique résistant à une immunothérapie spécifique aux acariens et un traitement symptomatique (azélastine + propionate de fluticasone et bilastine) bien conduits. S'y associe un asthme de forme sévère difficile à contrôler : score ACT 13/25 sous propionate de fluticasone + salmétérol 250 μg × 2/j, prednisolone 10 mg/j et salbutamol à la demande.
Liens d'interêts
M. Alexandru, A. Beurnier, C. Adam, F. Benoudiba, J.F. Papon déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
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Figure 1. Tomodensitométrie des sinus de la sinusite fongique immuno-allergique, coupes axiales (A, C) et coronales (B, D). Comblement sinusien, zones spontanément hyperdenses (flèches) et ostéolyse orbitaire (étoiles).

Figure 2. IRM des sinus de la sinusite fongique immuno-allergique en coupes axiales. Comblement sinusien : zones en isosignal T1 (A) et en asignal T2 (B) (étoile) spécifiques.
