Les traitements de la polyarthrite rhumatoïde
- Les analyses post hoc des études et des bases de données de vraie vie n'ont pas montré de différence significative entre les inhibiteurs de JAK (JAKi) et les anti-TNF concernant les risques cardiovasculaire et carcinologique.
- Les facteurs de risque d'événements cardiovasculaires et oncologiques sont l'âge, les antécédents cardiovasculaires et les comorbidités.
- L'utilisation des JAKi peut être poursuivie même après une réactivation du zona.
- L'incidence de la pneumopathie interstitielle diffuse dans la PR est moindre sous traitement par JAKi que sous bDMARD.
- L'activation du checkpoint immunitaire pourrait représenter une nouvelle voie thérapeutique dans la PR.
Liens d'interêts
D. Wendling déclare avoir des liens d’intérêts avec AbbVie, BMS, MSD, Pfizer, Roche Chugai, Amgen, Nordic Pharma, UCB, Novartis, Janssen, Lilly, Sandoz, Grunenthal, Galapagos et Fresenius Kabi.
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Figure 1. Hazard ratio (HR) des différents MACE.

Figure 2. Incidence des MACE et TEV.

Figure 3. Survenue de MACE et de cancers dans les études sur le filgotinib.

Figure 4. Survie sans MACE chez les patients sous tofacitinib ou anti-TNF.

Figure 5. Risque de récurrence du zona.

Figure 6. HR ajustés de survenue de PID-PR en fonction des traitements (référence : adalimumab).

Figure 7. Site d’action du pérésolimab.

Figure 8. Résultats cliniques du pérésolimab à S12.
