Articles pour « cellules souches »

Plusieurs publications ont montré une possible dissociation du statut HER2 entre la tumeur primitive et les cellules tumorales circulantes. Ainsi il a été rapporté des séries de cas de patientes ayant un cancer du sein métastatique dont la tumeur primitive était HER2– et chez lesquelles ...

Dans le cadre du Congrès D'après le San Antonio Breast Cancer Symposium 2023

Cette année, un nombre conséquent d’abstracts est consacré au syndrome de Richter (SR). Parmi eux, 2 rapportent les travaux réalisés sous l’égide du groupe FILO.Le premier, présenté par Charline Moulin, s’est intéressé aux données clinicobiologiques et moléculaires de 103 ...

Dans le cadre du Congrès D'après le 62ème congrès annuel de l'American Society of Hematology

L’immunochimiothérapie de type R-CHOP donne de bons résultats dans la prise en charge initiale des lymphomes B diffus à grandes cellules (LBDGC), mais sa réalisation est difficile chez des patients âgés ou présentant des comorbidités significatives. Des alternatives moins toxiques (et ...

Dans le cadre du Congrès D'après le 62ème congrès annuel de l'American Society of Hematology

Le glofitamab est un anticorps bispécifique avec une configuration moléculaire “2 pour 1” qui facilite la liaison bivalente au CD20 sur les cellules B, et la liaison monovalente au CD3 sur les cellules T (figure 1).Lors d’études préliminaires, cet anticorps a induit des syndromes de ...

Dans le cadre du Congrès D'après le 62ème congrès annuel de l'American Society of Hematology

À l’inverse de ceux qui cherchent à identifier des mutations somatiques en séquençant le matériel génétique de patients triés sur le volet, ces chercheurs du NIH à Bethesda ont privilégié le “genotype first”, à savoir identifier les caractéristiques cliniques de patients ...

Dans le cadre du Congrès D'après le 62ème congrès annuel de l'American Society of Hematology

Que connaissons-nous de la qualité de vie de nos patients une fois le lymphome traité et en rémission ? À vrai dire peu de choses, et lors des consultations nous résumons le plus souvent la situation en fin de compte rendu avec un “rémission complète persistante” rassurant et ...

Dans le cadre du Congrès D'après le 62ème congrès annuel de l'American Society of Hematology

Les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire (ICP) ont rapidement été établis comme traitement de référence pour les patients atteints d’un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) avancé, tant en deuxième ligne (nivolumab, pembrolizumab et atézolizumab) que, plus ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

Chers Lecteurs, Chers Auditeurs, Chers Surfeurs, Chers Amis, Déjà 4 jours que nous parcourons les allées virtuelles du congrès, avec une agilité croissante… Un bon signe pour ce qui est de notre plasticité neuronale (mais aucune félicitation de mon téléphone, qui n’a pas ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'American College of Rheumatology

Depuis quelques années, le tocilizumab est devenu une molécule centrale dans l’artérite à cellules géantes (ACG), notamment chez les patients corticodépendants ou corticoréfractaires. Cependant, force est de constater que de nombreux patients rechutent lorsque le tocilizumab est diminué ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'American College of Rheumatology

Les cellules du système immunitaire des patients lupiques surexpriment 2 facteurs de transcription Ikaros (IKZF1) et Aiolos (IKZF3), ce qui aboutit à une augmentation de la sécrétion d’autoanticorps par les lymphocytes B, d’une part, et au maintien d’un phénotype activé des lymphocytes ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'American College of Rheumatology

Le NGS (next-generation sequencing) est une technique d'analyse à haut débit de l'ADN (recherche de mutations) ou de l'ARN (recherche de fusions) permettant l'établissement du profil moléculaire de la tumeur, indispensable au choix de la stratégie thérapeutique et à la surveillance du ...

Les réarrangements de RET sont retrouvés dans plusieurs tumeurs solides et représentent environ 1 à 2 % des cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC). Certains inhibiteurs multikinases tels que le cabozantinib ont une activité anti-RET, avec toutefois une efficacité ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

Avec les résultats de l’étude IMpower 133, l’association chimiothérapie-atézolizumab est devenue le nouveau standard de traitement de première ligne des cancers bronchiques à petites cellules (CBPC) [1] avec une amélioration de la survie globale de 10,3 à 12,3 mois avec un HR à 0,70. ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

L’essai CARTITUDE-1 a été rapporté au COMy, faisant écho à sa présentation lors du congrès de l’ASH 2019. Pour rappel, il s’agit d’un essai de phase Ib/II évaluant la tolérance et l’efficacité du JNJ-4528, la cellule CAR T des laboratoires Janssen, avec 2 sites de fixation au ...

Dans le cadre du Congrès D’après le 6e congrès COMy

L’avancincaptad pegol est un inhibiteur de la séparation de la fraction C5 du complément en C5a et C5b. La fraction C5a du complément active l’inflammation des cellules de l’épithélium pigmentaire rétinien et la fraction C5b est responsable de l’accumulation des MAC (membrane attack ...

Dans le cadre du Congrès D’après le congrès virtuel EURETINA

L'association nivolumab + ipilimumab et 2 cycles de chimiothérapie améliore la survie globale des CBNPC de stade IV par rapport à la chimiothérapie seule.L'immunothérapie confirme son intérêt dans les CBPC.La charge mutationnelle ne trouve pas sa place parmi les biomarqueurs d'efficacité. ...

La 36e édition du congrès de l'ASCO® s'est tenue en mai 2000 à La Nouvelle-Orléans. Ce congrès reste dans les mémoires de nombre d'entre nous, une diapositive résume parfaitement l'impression douce-amère de la session plénière où l'étude de phase III ECOG 1594 était présentée, ...

Actuellement, la prescription des thérapies ciblées en oncologie digestive est guidée, dans la mesure du possible, par les caractéristiques moléculaires de la tumeur de chaque patient. Des biomarqueurs peuvent être associés à l'efficacité ou à la résistance aux traitements ciblés. Par ...

Les carcinomes papillaires du rein représentent les tumeurs du rein les plus fréquentes (15 %) après les carcinomes à cellules claires. Ils constituent un groupe hétérogène de tumeurs différentes sur les plans histologique et moléculaire [1]. Ils sont moins sensibles aux traitements ...

Les carcinomes neuroendocrines de la vessie, ou carcinomes à petites cellules, sont des tumeurs rares (< 1 %) et hétérogènes. Leur taux de prolifération est plus important que celui des tumeurs urothéliales (55 versus 25 %), et ils sont plus souvent p16+, ...