Nivolumab et ipilimumab dans les cancers gynécologiques à cellules claires : association plus efficace et plus toxique
L’immunothérapie peine à s’imposer dans les cancers de l’ovaire, et les publications négatives se sont accumulées depuis quelques années. Les explications sont multiples : faible charge mutationnelle, peu d’instabilité ...
Dans le cadre du Congrès ESMO 2024 - Cancers féminins
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