Résultats pour « Métastases glandulaires »

Les traitements de 2e ligne des cancers de la vessie par une monochimiothérapie de vinflunine [1] ou de paclitaxel [2] permettent d'obtenir un taux de réponse de 10 % et une médiane de survie globale (SG) de 7 à 9 mois. Les inhibiteurs de ...

Parmi les patients ayant plusieurs lésions pulmonaires dans un contexte de cancer du poumon, il est difficile de distinguer des métastases intrapulmonaires (IPM) ou des multiples cancers pulmonaires primitifs (MPLC). Il n’existe aucun algorithme pour résoudre ce problème qui constitue un ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

De nos jours les ITK anti-ALK de 2e génération se sont imposés, au lieu du crizotinib (1re génération), comme le standard de première ligne de traitement. Il s’agit notamment du céritinib (essai ASCEND-4), de l’alectinib (essai ALEX) et plus récemment le brigatinib (essai ALTA-1L) qui ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

Dans 90 à 95 % des cas, les nodules thyroïdiens sont bénins, ne nécessitant qu'une simple surveillance. L'échographie et l'étude cytologique de nodules sélectionnés, formalisées selon les classifications respectives EU-TIRADS (European-Thyroid Imaging Reporting and Data System) et ...

La thyroïdectomie est indiquée pour assurer le traitement définitif des goitres nodulaires symptomatiques et/ou hyperfonctionnels et/ou suspects de malignité. Elle est actuellement la seule alternative à la surveillance clinique spécialisée et échographique progressivement espacée.La ...

Actuellement la pratique est d’irradier après traitement conservateur. Mais serait-il possible d’identifier, à partir de critères cliniques, histologiques ou biologiques, des patientes pour lesquelles le rapport bénéfice/risque de la radiothérapie (RT), serait suffisamment faible pour ...

Dans le cadre du Congrès Actualités en oncosénologie

La plupart des tumeurs pancréatiques neuroendocrines ne produisent pas d'hormones en excès et sont donc considérées comme non fonctionnelles. Néanmoins, le tableau clinique associé à ces tumeurs est très variable, et on détecte parfois des métastases à distance des tumeurs initiales qui ...

Dans 90 à 95 % des cas, les nodules thyroïdiens sont bénins, ne nécessitant qu'une simple surveillance. L'échographie et l'étude cytologique de nodules sélectionnés, formalisées selon les classifications respectives EU-TIRADS (European-Thyroid Imaging Reporting and Data System) et ...

La thyroïdectomie est indiquée pour assurer le traitement définitif des goitres nodulaires symptomatiques et/ou hyperfonctionnels et/ou suspects de malignité. Elle est actuellement la seule alternative à la surveillance clinique spécialisée et échographique progressivement espacée.La ...

L’utilisation des corticostéroïdes au début d’une immunothérapie est associée à de mauvais résultats chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC), ce qui pose la question de savoir si l’administration des corticostéroïdes diminue l’efficacité ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

Le pronostic des TGNS (tumeurs germinales non séminomateuses) a été transformé par les chimiothérapies à base de cisplatine. Néanmoins, certains patients vont encore décéder de leur maladie. La classification ­pronostique internationale de l'IGCCCG (International Germ Cell Cancer ...

Le cancer de la prostate est le 4e cancer en termes de fréquence dans le monde. Si l'âge médian au diagnostic est de 66 ans, la survenue de métastases est beaucoup plus tardive. L'incidence de la mortalité est de 10 pour 100 000 hommes avec un âge médian de décès spécifique ...

L'utilisation de la chirurgie laparoscopique robot-assistée pour le traitement des tumeurs du rein a augmenté rapidement au cours des 15 dernières années. Les techniques mini-invasives sont désormais utilisées dans la majorité des néphrectomies totales et partielles en France. Les ...

Le développement récent de thérapies ciblées anti-TRK constitue une avancée majeure dans le traitement de nombreux cancers. Dans cet article, nous présentons une mise au point sur les caractéristiques épidémiologiques des tumeurs avec réarrangements des gènes NTRK1, NTRK2 et NTRK3 et ...

Le lorlatinib est un inhibiteur de ALK et ROS1. Le lorlatinib a démontré son activité dans le CBNPC ROS1+ prétraité par le crizotinib. Cependant, les événements moléculaires prédictifs de la réponse tumorale pendant le traitement par le lorlatinib sont largement inconnus.L'essai PFROST a ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-thoracique

La 2e journée sur les tumeurs urologiques a montré l’efficacité des PARP inhibiteurs au travers de plusieurs essais dans la prostate : GALAHAD/niraparib, TRITON/rucaparib et l’attente impatiente de PROfound/olaparib en séance plénière. L’immunothérapie n’en est encore qu’à ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

M. Smith (NJEM 2018) nous avait déjà présenté les premiers résultats de l’étude SPARTAN qui a évalué l’apalutamide (APA + DA) versus placebo + DA chez les patients atteints d’un cancer de la prostate résistant à la castration M0 (CPRC M0). Cette étude a atteint son objectif ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

Quand devons-nous irradier nos patients à haut risque de rechute après prostatectomie ? Plusieurs essais soutiennent un bénéfice en termes de survie globale (EORTC 22911, ARO 96-02, SWOG 8794), mais d’autres études montrent que cette irradiation précoce ne semble apporter aucun bénéfice ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

L’osimertinib est un inhibiteur de tyrosine kinase d’EGFR (ITK-EGFR) de 3egénération efficace sur les mutations EGFR communes (L858R, Del ex19) et la mutation de résistance T790M. L’essai de phase III randomisé, FLAURA, comparait l’osimertinib à un bras contrôle d’erlotinib ou de ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-thoracique

En 1re ligne de traitement pour les patients atteints d’un carcinome urothélial métastatique et non fit pour le cisplatine, les options thérapeutiques donnent des résultats modestes : 36 % de réponse objective pour la combinaison carboplatine + gemcitabine (1) et 25 % pour les anti-PD-1(2). ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie