Articles pour « rectocolite hémorragique »

L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité et la tolérance du ritlecitinib (inhibiteur de JAK3/TEC) et du brepocitinib (inhibiteur de TYK2/JAK1) dans le cadre de l’étude de phase IIb VIBRATO, chez des patients présentant une rectocolite hémorragique (RCH) modérée à ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

Le mirikizumab, un anticorps monoclonal IL-23/p19, a démontré son efficacité en traitement d’induction par rapport au placebo dans l’étude de phase III LUCENT-1, chez les patients atteints de rectocolite hémorragique (RCH) modérée à sévère. Cette analyse a évalué l’efficacité du ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

L’étude QUASAR est un essai de phase IIb, randomisé, en double aveugle, contrôlé, qui évalue le guselkumab (GUS), un antagoniste de la sous-unité p19 de l'interleukine 23, en tant que traitement d'induction chez les patients atteints de rectocolite hémorragique (RCH) modérée à ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

Les symptômes les plus courants de la rectocolite hémorragique (RCH) sont la diarrhée, les saignements rectaux, les douleurs abdominales et l'urgence intestinale. Le mirikizumab (MIRI), un anticorps monoclonal IL-23p19, a démontré une amélioration du contrôle des symptômes dans une étude ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

Le PN-943 est un inhibiteur des intégrines (antagoniste α4β7) de 2e génération s’administrant par voie orale. Des études préalables ont montré qu’il était 3 fois plus efficace que la molécule de 1re génération PTG-100 en traitement de la rectocolite hémorragique ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

Cette étude prospective et observationnelle a inclus des patients adultes atteints de rectocolite hémorragique (RCH) et de maladie de Crohn (MC), ainsi que des témoins sains. Les sérums ont été analysés pour les anticorps liant le domaine de liaison au récepteur (RBD) de la protéine Spike ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

L’épaississement pariétal intestinal à l'échographie est un signe important pour caractériser l’inflammation intestinale chez des patients atteints de rectocolite hémorragique (RCH). Oui, mais comment voir au mieux le rectum souvent difficile d’accès par voie antérieure ? En apposant ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

L'étrasimod est un modulateur sélectif des récepteurs de la sphingosine 1-phosphate. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité et la tolérance de l’etrasimod 2 mg en traitement d’induction et d'entretien dans la rectocolite hémorragique (RCH) modérée à ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

L’upadacitinib (UPA), inhibiteur sélectif et réversible de JAK, a démontré son efficacité en traitement d’induction (45 mg/j pendant 8 semaines) dans la rectocolite hémorragique (RCH) modérée à sévère. L’objectif de cette étude de phase III (voir zoom du jour) était d’évaluer ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

L'ozanimod et plus récemment l'étrasimod ont montré leur efficacité dans la rectocolite hémorragique (RCH). Les études de phase III dans la maladie de Crohn (MC) sont en cours. Certains événements indésirables nécessitent d'étre connus, et un bilan préthérapeutique ainsi qu'une ...

Vous souvenez-vous du temps où nos patients arrivaient en consultation en nous disant : “Je viens vous voir, docteur, car vous êtes ma dernière chance, tout le monde m'a dit que ma vie allait être difficile, car mon traitement par anti-TNF n'a pas marché.” Eh bien, ce temps-là est ...

La rectocolite hémorragique (RCH) réfractaire sur le plan médical peut nécessiter une colectomie avec anastomose iléo-anale. Les complications de la poche en J comprennent la pochite, qui survient chez 50 à 80 % des patients, et la maladie de Crohn (MC) de la poche, qui survient chez 3 à 17 ...

Dans le cadre du Congrès Actualités sur la maladie de Crohn

Un essai contrôlé randomisé a récemment montré que la forme sous-cutanée (s.c.) de l’infliximab était aussi efficace que la forme intraveineuse (i.v.). L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité de l’infliximab après switch de la forme i.v. vers la forme ...

Dans le cadre du Congrès Actualités sur la maladie de Crohn

Chez les patients atteints de MICI, des taux plus élevés de 6-thioguanine nucléotide (6-TGN) et l'utilisation de méthotrexate ont été associés à des concentrations plus élevées d'infliximab (IFX) et à de meilleurs résultats cliniques. Ces associations n'ont pas été étudiées chez ...

Dans le cadre du Congrès Actualités sur la maladie de Crohn

Les MICI regroupant la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique (RCH) ont été décrites comme rares en Afrique subsaharienne [1, 2]. Les caractéristiques des patients malgaches atteints de MICI sont peu rapportées dans la littérature. Aussi a été menée une étude afin de décrire ...

Au cours de la rectocolite hémorragique (RCH), les patients peuvent être non répondeurs primaires ou devenir non répondeurs au fil du temps, ce qui nécessite des changements de traitement. Les traitements peuvent avoir différents modes d’action. L’objectif de cette analyse post-hoc de ...

Dans le cadre du Congrès JFHOD 2022

Les questionnaires de cette enquête ont été diffusés via les réseaux de l'afa Crohn RCH France (association François-Aupetit). L'enquête a été menée en ligne auprès de 2 582 patients atteints de maladie de Crohn (MC) et de rectocolite hémorragique (RCH). Les réponses ont été ...

Dans le cadre du Congrès JFHOD 2022

L’objectif de cette étude était d’évaluer, pendant la première vague épidémique, l’incidence de l’infection à SARS-CoV-2 dans une population de patients atteints de MICI traités par infliximab ou védolizumab, et d’identifier les facteurs associés au risque ...

Dans le cadre du Congrès JFHOD 2022

Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, la prise en charge des patients atteints de maladie chronique et/ou sous immunosuppresseurs était préoccupante, faute de données disponibles. Chez les patients atteints de MICI, des informations contradictoires, issues de registres ...

Dans le cadre du Congrès JFHOD 2022

Les comorbidités rhumatologiques sont fréquentes chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. La pathologie rachidienne dégénérative et la capsulite rétractile de l'épaule sont les comorbidités les plus fréquentes. Sources de confusion, elles peuvent s'associer à la maladie de ...