Dossier

Retour sur notre expérience à Strasbourg et dans le Grand Est pendant la 1re vague épidémique de Covid-19, et comment les services se sont préparés à la 2e

La pandémie actuelle de Covid-19, à l'origine du décès de plus de 2 millions de personnes dans le monde, est un défi majeur pour le monde médical et celui de la recherche. La région Grand Est ayant été frappée de plein fouet lors de la 1re vague, une réorganisation en urgence des différents services de médecine, dont l'oncologie médicale, a été nécessaire, puisque les sujets atteints d'une pathologie néoplasique ont été considérés comme plus à risque d'évolution défavorable du fait de leur maladie et de ses traitements spécifiques. L'ensemble du personnel soignant a donc non seulement dû faire face à cette 1re vague épidémique aux lourdes conséquences humaines, tenter de proposer la meilleure prise en charge oncologique possible dans ce contexte si particulier, approfondir ses connaissances sur le SARS-CoV-2, mais aussi simultanément se préparer à une 2e vague annoncée comme inévitable. Nous rapportons dans cet article notre retour d'expérience dans la prise en charge des cancers urologiques au cours de ces derniers mois.


 

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Liens d'intérêt

S. Martin déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.

P. Barthélémy déclare avoir des liens d’intérêts avec BMS, Pfizer, MSD, AstraZeneca, Janssen Cilag, Astellas, Amgen, Roche et Ipsen.