Mise au point

Les questions du clinicien (Dr Jean-Luc Meynard) ; les réponses du virologue (Dr Bernard Masquelier)

> Quelle est aujourd’hui la technique à utiliser pour déterminer le tropisme non seulement chez un patient en échec, mais également chez un patient dont la charge virale est indétectable ? > Quelle est, dans ces multiples situations, la prévalence des différents tropismes ? > À force d’augmenter la sensibilité des tests, ne risque-t-on pas de limiter considérablement le nombre de patients strictement R5 ? > Pour les patients ayant un tropisme D/M, y a-t-il un seuil qui laisserait penser que le médicament pourrait être efficace ? Que sait-on du rôle du tropisme à propos des inhibiteurs de CCR5…

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