Dossier

Cancers ORL

  • A été rapportée la première étude qui démontre l'efficacité de l'immunothérapie préventive pour les maladies précancéreuses buccales à haut risque.
  • Le xévinapant concomittant à la radiochimiothérapie confirme son efficacité.
  • La chimiothérapie d'induction reste très discutée. Le TPF (docétaxel, cisplatine et 5-fluorouracile) bihebdo­madaire permet de meilleurs taux de réponses avec moins de toxicités.
  • Avec un suivi prolongé de 5 ans, le pembrolizumab de 1re ligne et le pembrolizumab + chimiothérapie ont continué à montrer une activité antitumorale durable, avec une bonne sécurité.
  • Le larotrectinib a démontré une efficacité rapide et durable, avec un profil de sécurité favorable chez les patients atteints d'une tumeur des glandes salivaires porteuses d'une fusion NTRK.

Immunothérapie préventiveÉtude de phase II sur la place du nivolumab dans la leucoplasie orale à haut risqueD'après G.J. Hanna et al., abstr. 650ORationnel : la leucoplasie orale proliférative (LOP) est une maladie précancéreuse agressive, caractérisée par des lésions multifocales et un risque élevé de transformation en carcinome épidermoïde oral (CE). Il n'existe aucun traitement efficace qui empêche la progression vers le cancer de la cavité orale. La LOP montre un microenvironnement immunitaire riche, ce qui justifie de tester les anti-PD-L1 comme immuno­thérapie…

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Liens d'intérêt

S. Hans, F. Couineau, J.R. Lechien et R. Baudouin déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.