Dossier

Cancers gynécologiques

  • Inhibiteurs de PARP en 1re ligne pour toutes les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire ? avec ou sans bévacizumab ?
  • L'immunothérapie devrait s'imposer pour les cancers de l'endomètre avancés présentant une déficience MMR.
  • Cancers du col avancés : immunothérapie par thérapie cellulaire ou approche classique avec inhibiteur de point de contrôle immunitaire.
  • Tramétinib : 1re thérapie ciblée pour les carcinomes séreux de bas grade de l'ovaire ?

L'oncogynécologie entre dans le XXIe siècle : il était temps. Les inhibiteurs de PARP (iPARP) transforment la prise en charge des cancers de l'ovaire, avec une efficacité majeure chez presque 50 % des patientes (BRCAm, déficit de la réparation par recombinaison homologue). L'immunothérapie devrait s'imposer comme un standard pour les cancers de l'endomètre et du col de l'utérus avancés dans les années qui viennent.Cancers de l'ovaireEssais en 1re ligne : maintenance par inhibiteurs de PARP (iPARP) après chimiothérapie par paclitaxel et carboplatineAssociation bévacizumab + olaparib : PAOLA-1PAOLA 1 [1]…

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Liens d'intérêt

T. de la Motte Rouge déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Roche, Tesaro, Clovis Oncology, Pfizer, MSD, Novartis et GamaMabs.

C. Lefeuvre, M. Provansal, O. Trédan et B. You n’ont pas déclaré leurs éventuels liens d’intérêts en relation avec cet article.