Dossier

Cancers gynécologiques

  • Un test évaluant la recombinaison homologue dans les cancers de l'ovaire est-il indispensable pour le choix de la maintenance en 1re ligne ?
  • La classification moléculaire des cancers de l'endomètre est en passe de s'imposer pour guider les traitements.
  • Le dostarlimab est disponible en ATU dans les cancers de l'endomètre avancés avec instabilité des microsatellites ayant reçu un sel de platine.
  • Dans les cancers du col, les espoirs reposent sur l'immunothérapie, mais la chimiothérapie ciblée grâce aux anticorps drogues-conjugués est aussi une approche très prometteuse.

2020, année charnière pour les cancers de l'endomètre ? La classification moléculaire devient indispensable en routine pour guider le choix des traitements, que ce soit à la phase précoce ou avancée. L'immunothérapie fait également son entrée dans l'arsenal thérapeutique, notamment pour les cancers avec instabilité des microsatellites (MSI). Pour les cancers de l'ovaire, les inhibiteurs de PARP (iPARP) doivent maintenant être utilisés largement dès la 1re ligne. Une évaluation de la recombinaison homologue (HRD) semble aussi nécessaire pour le choix du traitement de maintenance. En 2021, le test…

L’accès à la totalité de l’article est protégé




Liens d'intérêt

T. de la Motte Rouge déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Clovis Oncology, GSK Tesaro, MSD, Novartis, Pfizer et Roche.

H. Bourien et C. Lefeuvre n’ont pas déclaré leurs éventuels liens d’intérêts.