Il n'existe à l'heure actuelle aucune recommandation solide portant sur l'antibiothérapie des IPV (infections sur prothèses vasculaires) (1). La prise en charge varie donc beaucoup d'un centre à l'autre. Les IPV sont pourtant plus fréquentes que les infections sur pacemaker ou défibrillateur, qui, elles, bénéficient de recommandations de prise en charge. Elles sont également particulièrement graves: le taux de mortalité 1 mois après le diagnostic peut atteindre 20 % (2).La littérature sur le sujet ne s'est longtemps intéressée qu'aux aspects chirurgicaux de ces infections. Mais des données récentes…
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iciLiens d'intérêt
M. Revest déclare avoir été remboursé par Pfizer pour une inscription à un congrès.
F. Camou déclare avoir perçu des honoraires investigateurs de la part d’Astellas, Correvio et Merck et avoir été remboursé de frais de déplacement et d’inscription à des congrès par Astellas, Correvio, Merck, Pfizer, Sanofi.
P. Feugier déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec l’article.
J. Caillon déclare avoir été prise en charge par Astellas pour un congrès.