Parmi les nouveaux acteurs impliqués dans la physiopathologie du lupus érythémateux systémique, les plaquettes sanguines et les polynucléaires neutrophiles semblent jouer un rôle important, via notamment la production de microparticules. En effet, les microparticules sont impliquées par l’intermédiaire de divers mécanismes dans la pathogénie de la maladie, en tant que source d’autoantigènes, via la formation des complexes immuns, mais également dans la présentation antigénique aux lymphocytes T autoréactifs. Ces nouveaux acteurs pourraient constituer de nouvelles cibles thérapeutiques, comme par exemple l’inhibition de l’activation plaquettaire.
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