Résultats pour « Radiothérapie interne vectorisée »

Le concept de cancer oligométastatique (du grec « oligos », peu abondant) fut conceptualisé par Hellman et Weichselbaum en 1995, comme une phase biologique intermédiaire entre la tumeur localisée et le cancer polymétastatique, potentiellement curable en utilisant un traitement local (1). La ...

Dans le cadre du Congrès Actualités en onco-sénologie

Le carcinome rénal à cellules claires concerne, dans plus de 40 % des cas, des patients âgés de plus de 70 ans. Du fait de la grande hétérogénéité de la population gériatrique, sa prise en charge chirurgicale doit être adaptée chez le sujet âgé. Il conviendra de définir le niveau de ...

Médecin
Radiothérapie

La prise en charge des patients atteints d’un cancer de la prostate sensible à la castration évolue rapidement. La chimiothérapie en association à la déprivation androgénique (ADT) a constitué le premier doublet consacré dans cette situation, suivie par les hormonothérapies de nouvelle ...

Dans le cadre du Congrès ESMO - Actualités en onco-urologie

Médecin
Oncologie

Alors que l’insouciance estivale s’est installée dans les têtes sous une froidure pluvieuse pour la moitié nord de la France et une chaleur caniculaire pour la moitié sud de l’Europe, SARS-CoV-2, faisant fi des caprices du climat, s’invite à nouveau à la fête nationale avec un ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

La surveillance post-thérapeutique était le maître-mot de l'ASCO® 2021. L'excès de mortalité non liée au cancer testiculaire est de 23 % et est dû à la survenue de cancers secondaires. L'étude des profils des rechutes tardives montre que le délai de survenue de la récidive varie selon ...

Dans les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) de stade I à IIIA, malgré une prise en charge curative, le risque de rechute reste élevé, de même que l'apparition d'un second cancer pulmonaire, chez les patients ayant des antécédents de tabagisme notamment. L'impact de la ...

Le pembrolizumab (anti-PD-1) est un traitement important en 1re ligne dans les CBNPC sans drivers oncogéniques et exprimant PD-L1 ≥ 50 %. Malgré son efficacité, presque 50 % des patients décèdent dans les 2 ans suivant son instauration ; d'autres thérapies sont donc nécessaires. ...

Le cancer du sein est une tourmente complexe, un drame qui implique plusieurs participants : la femme atteinte, son conjoint ou sa conjointe, ses proches, l'oncologue et, bien sûr, le cancer.Ce sont des souffrances, des peurs, des angoisses : peur de la mort pour la femme, peur de l'abandon ...

Madame D. est âgée de 38 ans ; elle est mariée et a 1 enfant de 8 ans. Aucun antécédent médical personnel ni familial. Autodécouverte, en 2012, d’une modification du galbe du sein droit depuis quelques mois. 2012Diagnostic et prise en chargeMastectomie droite, curage : ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en oncologie sénologie

La radiothérapie tumorale focale (RT) induit une mort cellulaire immunogène associée à des adjuvants endogènes qui favorisent la captation d'antigènes cancéreux par les cellules dendritiques conventionnelles (CDC). L'expression de CD47 est nettement augmentée dans une proportion élevée ...

Dans le cadre du Congrès pan-tumeurs

Le pembrolizumab (anti-PD-1) est un traitement important en première ligne dans les CBNPC sans drivers oncogéniques et exprimant PD-L1 ≥ 50 %. Malgré son efficacité presque 50 % des patients décèdent dans les 2 ans de son introduction, d’autres thérapies sont donc nécessaires. ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

Dans l'essai de phase III PACIFIC-6 [1], le durvalumab après une chimioradiothérapie concomitante (CRT) a amélioré de manière significative les résultats de survie chez les patients atteints d’un CBNPC non résécable de stade III, avec un profil de sécurité gérable. De nombreux ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en onco-thoracique

Les tumeurs de la vessie infiltrant le muscle peuvent être traitées efficacement par une approche multimodale associant une résection transurétrale de la tumeur et une radiothérapie de la vessie. Dans cette démarche conservatrice, 2 essais randomisés anglais ont validé l'intérêt ...

Bien que marquée par la pandémie de Covid-19, l'année 2020 a bénéficié de nombreuses publications dans le domaine des soins de support. Les progrès réalisés dans le cadre de la gestion des immunothérapies ont représenté des avancées importantes. La thématique de l'après-cancer a ...

L'hypofractionnement consiste à augmenter la dose délivrée à chaque séance de radiothérapie en diminuant le nombre total de séances. La durée du traitement est ainsi réduite au bénéfice du confort des patients et de la limitation des coûts. En comparaison d'un fractionnement ...

Les inhibiteurs de PARP représentent la 1re classe thérapeutique ciblant de façon spécifique la réparation de l'ADN. Selon le concept de létalité synthétique, il existait un rationnel fort pour développer ces agents dans les tumeurs présentant une mutation constitutionnelle de BRCA. Les ...

Le lymphome folliculaire (LF) est le lymphome malin non hodgkinien indolent le plus fréquent. Classiquement considéré comme incurable, mais d'évolution lente avec une survie globale prolongée, il a un profil d'évolution hétérogène selon les patients. Sa prise en charge varie selon des ...

Le vieillissement naturel et la déprivation estrogénique sont la première cause d'atrophie vulvovaginale.La carence estrogénique apparaît avec la ménopause mais aussi sous hormonothérapie adjuvante dans le traitement des cancers du sein.Les traitements hormonaux classiques ont des ...