Résultats pour « co-infection »

En France, l’émergence des entérobactéries productrices de carbapénémase (EPC) remonte environ à l’année 2010. Bien que la plupart des isolats bactériens correspondent à une colonisation, environ 20 % des patients concernés présentent une infection causée par ces bactéries ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en bactériologie et mycologie

La mastectomie de réduction de risque diminue l'incidence et la mortalité liée au cancer du sein chez les patientes à haut risque génétique.L'information éclairée demeure la préoccupation centrale de la consultation de chirurgie.Une prise en charge pluridisciplinaire et personnalisée ...

Les spondylodiscites infectieuses (SDI) sont des infections qui restent rares en population générale (2 à 11 cas/100 000 patients-années), mais qui ne doivent pas être ignorées en raison du risque neurologique (compression médullaire ou syndrome de la queue de ...

Une étude réalisée en Angleterre montre que la coqueluche continue de circuler chez les patients souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), une population à risque de présenter une forme sévère de la maladie, mais chez laquelle les symptômes sont souvent atypiques, ce ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en vaccinologie chez l’adulte

Une étude réalisée en Angleterre montre que la coqueluche continue de circuler chez les patients souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), une population à risque de présenter une forme sévère de la maladie, mais chez laquelle les symptômes sont souvent atypiques, ce ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en vaccinologie chez l’adulte

La vaccination contre les infections à pneumocoque est recommandée en France depuis 2013 par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), d’abord selon un schéma vaccinal de 1 dose de vaccin conjugué 13-valent (PCV13) suivie de 1 dose de vaccin non conjugué 23-valent (PPV23) chez les ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en vaccinologie chez l’adulte

La vaccination contre les infections à pneumocoque est recommandée en France depuis 2013 par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), d’abord selon un schéma vaccinal de 1 dose de vaccin conjugué 13-valent (PCV13) suivie de 1 dose de vaccin non conjugué 23-valent (PPV23) chez les ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en vaccinologie chez l’adulte

Trois principaux axes d’intervention sont possibles : prévention primaire (vaccination contre l’HPV), secondaire (détecter les lésions précancéreuses et les traiter pour éviter l’évolution vers des formes invasives) et détection précoce des tumeurs (au stade le plus précoce ...

Dans le cadre du Congrès Actualités en infectiologie et vaccinologie

L'atteinte oculaire de la TB peut être soit directe par voie hématogène, soit indirecte par réaction d'hypersensibilité (type IV) au MT.La tuberculose peut toucher toutes les structures de l'œil mais l'uvéite, volontiers granulomateuse, reste la manifestation la plus fréquente.Les lésions ...

Le DIU est une contraception de longue durée d'action, efficace et sûre comportant peu de contre-­indications.Le DIU se doit d'être proposé quelle que soit la parité. Un modèle dit “short” sera privilégié chez les nullipares.Le type de DIU sera choisi en fonction du profil des ...

L’islatravir (ISL) est un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse et de la translocation, ayant fait l’objet d’évaluation en phases II et III, tant pour le traitement de l’infection à VIH (patient naïfs et prétraités) que pour la prévention de l’infection (PrEP). Ses ...

Dans le cadre du Congrès Actualités sur le VIH

Le virus d’Epstein-Barr (EBV) est un facteur environnemental nécessaire mais insuffisant à lui seul pour la pathogénie de la sclérose en plaques (sérologie positive, l’infection survient 5 à 10 ans avant les premiers symptômes et est associée à une augmentation du dosage du ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l’ECTRIMS

L’équipe de la Pitié-Salpêtrière (Pr Valérie Pourcher, Dr Romain Palich) rapporte ici le 1er cas d'un chien qui aurait présenté une infection par le virus de la variole du singe qui pourrait avoir été acquise par transmission humaine. Deux HSH ont consulté dans le service le 10 Juin ...

Dans le cadre du Congrès Sur le Vif

La survenue d’une infection chez le transplanté d’organe solide (TOS) est un événement fréquent [1]. Plus de la moitié des 3 541 receveurs de TOS (55 %) ont présenté un ou plusieurs épisodes infectieux au cours de la 1re année de suivi post-transplantation. Les infections ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en bactériologie et mycologie

L’étude VEGA (voir zoom du jour) compare l’efficacité et la tolérance d’un traitement d’induction combinant guselkumab (GUS) et golimumab (GOL) à un traitement par GUS ou GOL en monothérapie chez des patients présentant une rectocolite hémorragique (RCH) modérée à sévère. Les ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

Le Covid “long” est d’actualité, en particulier pour les manifestations pulmonaires, mais qu’en est-il des conséquences potentielles gastro-intestinales ? L'étude GI-COVID19, prospective, multicentrique et contrôlée (12 pays, 36 centres), avait pour objectif d’évaluer la ...

Dans le cadre du Congrès D'après l'United European Gastroenterology Week

Il n'existe pas de recommandations précisant le moment où il faut réinitialiser la prophylaxie de la pneumonie à Pneumocystis jirovecii (PJP) chez les patients transplantés d'organe solide à risque accru. Les recommandations 2019 de l'AST-IDCOP (Infectious Diseases Community of Practice ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en bactériologie et mycologie

L'échographie est facile d'accès, non invasive et dépourvue d'artefact métallique.Rechercher et ponctionner préférentiellement une collection extra-articulaire, signe fortement évocateur d'une infection.Utile pour guider un geste de ponction ou de biopsie selon un protocole d'asepsie ...

Les céphalées primaires peuvent s'accompagner de manifestations orofaciales dans environ 10 % des cas.Dans certains cas rares, les manifestations orofaciales peuvent être l'unique présentation de céphalées primaires occultes, mimant des affections locales dentaires, gingivales, osseuses, ...

Les carcinomes épidermoïdes HPV-induits de l'oropharynx sont considérés comme une nouvelle entité dont l'incidence est en augmentation. Ils se caractérisent par une épidémiologie particulière (patients plus jeunes, non-fumeurs), un envahissement ganglionnaire souvent présent au ...