Résultats pour « Cancers du rein »

L'irradiation cérébrale prophylactique (ICP) est actuellement recommandée chez les patients de moins de 75 ans pris en charge pour un cancer bronchique à petites cellules (CBPC) localisé en réponse complète après radiochimiothérapie selon un schéma de 25 Gy en 10 fractions ...

Le pembrolizumab (anti-PD-1) est un traitement important en 1re ligne dans les CBNPC sans drivers oncogéniques et exprimant PD-L1 ≥ 50 %. Malgré son efficacité, presque 50 % des patients décèdent dans les 2 ans suivant son instauration ; d'autres thérapies sont donc nécessaires. ...

Le cancer bronchique à petites cellules reste une maladie très agressive, sa médiane de survie étant d'environ 10 mois pour les stades avancés.L'association chimiothérapie (platine + étoposide) et immunothérapie (atézolizumab ou durvalumab) est désormais validée en 1re ligne ...

L'efficacité de la prise en charge d'une maladie peut être mesurée par la morbidité et la mortalité. C'est le cas de l'asthme, pour lequel il existe un arsenal thérapeutique, avec de multiples niveaux d'intensité de traitement, qui a permis de réduire le fardeau de la maladie. ...

Les carcinomes basocellulaires (CBC) représentent les cancers cutanés les plus fréquents et sont principalement localisés au niveau de la tête et du cou, en zone photoexposée(1). Dans de rares cas, ces CBC peuvent être présents au niveau de zones non photoexposées, comme les parties ...

La radiothérapie métabolique par 177Lu-PSMA (rayonnement β) est une nouvelle approche thérapeutique qui fait partie des recommandations allemandes dans les cancers de la prostate résistants à la castration métastatiques (CPRCm) en échec des traitements conventionnels (hormonothérapie de ...

3. Intérêt et utilisation des PRO (patient-reported outcomes) en recherche clinique et en pratique quotidienneLes PRO, ou résultats rapportés par les patients, sont définis depuis les années 2000 comme “toute mesure de l'état de santé du patient rapportée directement par lui-même, ...

TNO155 est un inhibiteur sélectif oral de SHP2, oncoprotéine tyrosine phosphatase codée par le gène PTPN11, impliquée dans la prolifération et la différenciation cellulaires dépendantes de la voie MAPK, mais jouant aussi un rôle immunomodulateur en agissant sur la voie PD-1/PD-L1. Dans ...

Dans le cadre du Congrès pan-tumeurs

SD-101 est un oligodésoxynucléotide CpG de classe C, agoniste du récepteur toll-like 9 (TLR9) exprimé par les cellules dendritiques plasmocytoïdes (CDP). La fixation au TLR9 stimule la production d’interféron alpha et d’interleukine 12, ainsi que la maturation des CDP en cellules ...

Dans le cadre du Congrès pan-tumeurs

Le gène NRG1 code pour la protéine de liaison intercellulaire neuréguline qui sert de ligand pour les récepteurs HER et active les voies de signalisation HER2/HER3 à l’origine d’une addiction oncogénique. En se liant à HER3, la protéine NRG1 provoque l’hétérodimérisation de ...

Dans le cadre du Congrès pan-tumeurs

Le métabolisme de la glutamine est fréquemment dérégulé dans les cancers. La glutaminase, dont il existe 2 isoformes, catalyse la première étape de la transformation de la glutamine en glutamate et intervient ainsi dans la production d’énergie nécessaire à la cellule cancéreuse ...

Dans le cadre du Congrès pan-tumeurs

Le tucatinib est un inhibiteur de tyrosine kinase HER2 hautement sélectif. L’étude HER2CLIMB a évalué l’ajout du tucatinib à l’association capécitabine et trastuzumab dans les cancers du sein métastatiques HER2 positif progressant après trastuzumab, pertuzumab et T-DM1. C’est la ...

Dans le cadre du Congrès Actualités en onco-sénologie

Cette année, 2 familles thérapeutiques ont fait l’objet de multiples présentations : les SERD et les anticorps conjugués (ADC). Deux ADC ciblant HER2 ont ainsi été présentés.Le premier, présenté en poster discussion, est l’A166, un ADC donné en administration intraveineuse toutes ...

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Selon les référentiels, le traitement des cancers du sein métastatiques HER2+ en première ligne repose sur l’association taxane et double blocage HER2 avec le trastuzumab et pertuzumab compte tenu de l’amélioration majeure de la survie globale [1]. Cependant dans certains cas, une ...

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Les inhibiteurs de CDK4/6 sont devenus incontournables dans la prise en charge des cancers du sein RH+ métastatiques. Cependant, malgré leur efficacité en association avec l’hormonothérapie, il existe des mécanismes de résistance soit intrinsèques soit acquis qui amènent à ...

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Environ 20 % des patientes atteintes d’un cancer du sein triple-négatif ont plus de 65 ans [1]. Nous savons que les patientes plus âgées ont plus de comorbidités, de comédications et de fragilités. De ce fait, elles reçoivent souvent un traitement moins agressif pour le cancer du sein ...

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Le paclitaxel est considéré comme une des 1res lignes de chimiothérapie de choix dans les cancers du sein métastatiques. Cependant, le taux de réponse oscillant entre 21 et 54 %, ainsi que la fréquence des neuropathies périphériques justifient la recherche de nouvelles molécules ou ...

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L’étude de phase Ib/II BEGONIA avait pour objectif de tester plusieurs hypothèses et plusieurs options de traitement dans les cancers RH–, notamment dans les carcinomes triple-négatifs, en utilisant une base de traitement d’immunothérapie (durvalumab, un anti-PD-L1).Ainsi, dans la ...

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Le bénéfice de l’utilisation des inhibiteurs de point de contrôle immunitaire dans le cancer du sein triple-négatif reste discuté. Deux essais ont montré un possible gain en survie sans progression dans une population de patientes ayant un cancer métastatique PD-L1 positif mais sans ...

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I-SPY 2 est un essai thérapeutique néoadjuvant multibras, avec un schéma adaptatif, pour des cancers localisés de plus de 25 mm, sans surexpression de HER2. Différents traitements ont donc été testés en fonction de la biologie tumorale. La molécule SD-101 est un agoniste (oligonucléotide ...

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