Résultats pour « carcinome sébacé »

Le carcinome épidermoïde de la tête et du cou représente le septième cancer dans le monde en fréquence, avec une incidence annuelle autour de 700 000cas et un taux de mortalité estimé à environ 350 000 en 2018[1]. La survie à 5ans est respectivement de 61%, 49%, 41% et 25% pour ...

La maladie de Kaposi (MK) est une maladie angioproliférative associée à l'infection par le virus HHV-8. Il existe différentes formes de MK, les formes iatrogène et épidémique, dont la restauration de l'immunité est curative, et les formes classique et endémique, qui nécessitent un ...

Depuis 1960, le traitement standard pour les CBNPC localisés est la lobectomie. Avec l'augmentation de la fréquence des scanners, notamment via le dépistage encore non recommandé actuellement, nous détectons plus précocement des petits nodules solides ou en verre dépoli. Pour ce genre ...

L’immunothérapie, en association à la chimiothérapie, offre un espoir dans l’adénocarcinome avancé de l’estomac (étude CheckMate 649) avec une augmentation significative de la survie, mais le bénéfice est encore limité et s’adresse principalement aux patients exprimant fortement ...

Dans le cadre du Congrès FI AACR, ASCO, ESMO 2022

Les carcinomes luminaux A sont d’excellent pronostic. Leur risque de rechute est faible et dans cette condition il faut savoir se passer des traitements longs et coûteux.C’est avec cette hypothèse que les Canadiens ont monté l’étude LUMINA. Il s’agit d’une cohorte de patientes avec ...

Dans le cadre du Congrès Cancers féminins

L'hémorragie intra-alvéolaire (HIA) est une urgence thérapeutique.Il importe de séparer les formes immunes des formes non immunes.L'échographie cardiaque est indispensable dans le bilan d'une HIA. Dans les formes immunes, le traitement repose sur l'association de corticoïdes et ...

L'immunothérapie a montré un bénéfice thérapeutique dans toutes les lignes métastatiques.L'association du pembrolizumab avec la chimiothérapie avec ou sans bévacizumab deviendra le standard en 1re ligne métastatique.La radiochimiothérapie concomitante à base de cisplatine reste ...

Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune hétérogène tant dans sa présentation clinique que dans ses atteintes d'organes. Les manifestations cutanéomuqueuses sont présentes chez plus de 70 % des patients [1]. Cependant, ces manifestations cliniques restent ...

L'un des mécanismes de résistance aux inhibiteurs de PD-(L)1 est le défaut de costimulation CD28. Le davoceticept (ALPN-202) est à la fois un costimulateur CD28 conditionnel et un double inhibiteur de PD-L1 et CTLA-4. Dans l'étude NEON-1, il a été administré selon un schéma d'escalade de ...

Dans le cadre du Congrès FI AACR, ASCO, ESMO 2022

L'association d'un inhibiteur de CTLA-4 (iCTLA-4) à un inhibiteur de PD-(L)1 (iPD-(L)1) améliore l'efficacité antitumorale comparativement à l'iPD-(L)1 en monothérapie mais augmente aussi la toxicité. Il a été montré pour l'ipilimumab en association au nivolumab que la dose de 1 mg/kg ...

Dans le cadre du Congrès FI AACR, ASCO, ESMO 2022

Cas clinique inspiré d'une situation du service d’oncologie, institut Curie, Paris  ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en oncologie sénologie

Le proto-oncogène RET (rearranged during transfection), identifié comme le gène responsable des néoplasies endocriniennes multiples de type 2 (NEM2), est également impliqué dans les formes sporadiques de carcinome médullaire de la thyroïde et dans certains cancers différenciés de la ...

La prise en charge des tumeurs urologiques est en évolution permanente. L'idée de médecine personnalisée est développée depuis des années, mais devient actuellement une réalité à tous les stades de la maladie. Peut-on intensifier le traitement des patients atteints de formes graves de ...

Le risankizumab (RZB) est un anticorps monoclonal dirigé contre l’interleukine 23, une cytokine clé dans la pathogenèse de la maladie de Crohn (MC). Ont été présentés les résultats de ces 2 études similaires de phase III, randomisées, en double aveugle, contrôlées versus ...

Dans le cadre du Congrès JFHOD 2022

Durée : 59:24 ...

Dans le cadre du Congrès LIVE - Émission spéciale live CBC

Le proto-oncogène RET (rearranged during transfection), identifié comme le gène responsable des néoplasies endocriniennes multiples de type 2 (NEM2), est également impliqué dans les formes sporadiques de carcinome médullaire de la thyroïde et dans certains cancers différenciés de la ...

Les carcinomes hépatocellulaires (CHC) sont responsables de plus de 600 000 décès par an dans le monde. La plupart des patients ne peuvent pas recevoir de traitement à visée curative (résection chirurgicale, transplantation hépatique ou destruction per-­cutanée), car le diagnostic est ...

Le carcinome hépatocellulaire (CHC) est le 7e cancer en termes d'incidence, avec une survie relative à 5 ans de 12 %. Le risque annuel d'une survenue d'un CHC chez un patient atteint d'une cirrhose est situé entre 2 et 6 %. Les patients atteints d'une cirrhose induite par l'hépatite C ...

Pour commencer ce florilège, revenons d'abord sur un traitement utilisé de longue date : l'hydroxy­urée (HU). C'est le cytoréducteur le plus largement prescrit dans les néoplasies myéloprolifératives (NMP). Une étude observationnelle en vie réelle a décrit sa toxicité ...

Dans le cadre du Congrès LIVE - Émission spéciale live CBC