Résultats pour « risque de cancer »

Les études en vie réelle ont le vent en poupe et la cohorte EMMY surfe parfaitement sur cette vague. Pilotée par l’IFM, elle se veut une photographie des traitements reçus réellement en France par les patients présentant un myélome (72 centres participants). L’objet de l’étude ...

Dans le cadre du Congrès Actualités dans le myélome multiple

L'arrêt complet et définitif de la consommation de tabac est difficile. De nombreux patients rechutent et font plusieurs tentatives avant de réussir à arrêter de fumer. La motivation du patient et le soutien psychologique jouent un rôle essentiel dans la réussite de l'arrêt de la ...

Les faibles posologies de méthadone facilitent le passage à la buprénorphine, quelle que soit sa présentation, à condition de respecter une courte période de sevrage, qui peut être évaluée à l'aide de la Clinical Opioid Withdrawal Scale (COWS). Quant à la méthode des microdoses, qui ...

La thérapie thermique induite par laser (LITT) est une technique chirurgicale mini-invasive qui utilise la chaleur générée par une lumière laser pour détruire des lésions.Le monitorage IRM de la température en temps réel permet une sécurité d'utilisation, une morbidité moindre que la ...

La migraine avec aura est accompagnée d'une hypoperfusion cérébrale postérieure ne respectant pas un territoire vasculaire, puis d'une hyperperfusion.La migraine hémiplégique peut être accompagnée d'un oedème cortical vasogénique, voire d'un oedème cytotoxique et d'une rupture de la ...

À l'heure où les pouvoirs publics prennent conscience du peu de moyens dont dispose la psychiatrie en France, et où la commission des 1 000 premiers jours a soulevé l'importance de la santé mentale périnatale, il nous est apparu essentiel de faire un focus détaillé sur les particularités ...

La chimiothérapie adjuvante ou néoadjuvante est actuellement validée pour les CBNPC stade II à IIIA avec un bénéfice sur la survie globale à 5 ans de 5 %. Cependant, le risque de rechute pour les patients stades III opérés reste élevé (65 % à 5 ans) avec 20 à 40 % de rechutes ...

L'association concomitante de la chimiothérapie et de la radiothérapie est aujourd'hui le traitement de référence des CBNPC de stade III localement avancés non résécables.Elle n'est possible que chez les patients en bon état général (PS = 0 ou 1), présentant peu de comorbidités et ...

Prescrire le traitement antiémétique idéal à un patient relève d'une méthodologie simple mais complète, qui s'appuie sur une connaissance :- du risque du patient d'avoir des nausées et vomissements chimio-induits (NVCI);- des mécanismes d'action, des molécules disponibles et des ...

Voici le numéro, comme chaque année, tant attendu : rétrospective et perspectives. Vous y trouverez toutes les avancées de l'oncologie médicale décortiquées par nos experts. Jean-Baptiste Bachet soulignera l'intérêt de l'immunothérapie dans les cancers de l'œsophage et ...

Dans cette étude, les auteurs cherchent à identifier si les personnages les plus suivis sur les vidéos TikTok dermatologiques sont des dermatologues…TikTok, réseau social de vidéos comptait 14,9 millions d'utilisateurs actifs mensuels en France en janvier 2021. Ce chiffre a triplé entre ...

Dans le cadre du Congrès D'après le congrès américain de dermatologie

Le traitement de l’atteinte cutanée associée à la dermatomyosite (DM) est un véritable challenge, avec peu de données disponibles. Le traitement repose sur des immunomodulateurs ou immunosuppresseurs (corticothérapie systémique, méthotrexate, azathioprine, mycophénolate mofétil, ...

Dans le cadre du Congrès D'après le congrès américain de dermatologie

Bien qu'aucun effet indésirable sévère n'ait été signalé avec le traitement par sécukinumab, il y a une augmentation notable des rhinopharyngites et des infections des voies respiratoires supérieures (URI). Les auteurs ont étudié les mécanismes pouvant expliquer les taux accrus d'URI ...

Dans le cadre du Congrès D'après le congrès américain de dermatologie

Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, la prise en charge des patients atteints de maladie chronique et/ou sous immunosuppresseurs était préoccupante, faute de données disponibles. Chez les patients atteints de MICI, des informations contradictoires, issues de registres ...

Dans le cadre du Congrès JFHOD 2022

L'intensité de la pandémie de Covid-19 depuis 2 ans a complètement modifié nos modes de vie, comportements et façons de penser. En quelques mois, des vaccins remarquablement efficaces ont été implémentés et ont permis de contrôler cette pandémie, mais l’éventualité de nouvelles ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en pédiatrie : infectiologie & vaccinologie

Un enfant âgé de 7 ans présente une papillomatose laryngée juvénile (PLJ) se manifestant essentiellement par une dysphonie. Une laryngoscopie avec exérèse de lésions laryngées et amygdalectomie a été réalisée. Un avis ORL pédiatrique recommande la vaccination contre les ...

Dans le cadre du Congrès Expériences en pédiatrie : infectiologie & vaccinologie

Cette étude de la Mayo Clinic a identifié 3 057 personnes asthmatiques ayant arrêté une biothérapie dans la base de données d’Optum Labs. Les auteurs ont pris en compte un large éventail de facteurs de risque démographiques et cliniques (sexe, origine ethnique, région, type ...

Dans le cadre du Congrès Actualités au congrès AAAAI 2022

Dans l’étude VOYAGE, le dupilumab 100/200 mg versus placebo toutes les 2 semaines pendant 52 semaines a réduit le taux annualisé d’exacerbations (TAE) et amélioré le VEMS pré-BD chez des enfants âgés de 6 à 11 ans souffrant d’asthme modéré à sévère non contrôlé. Cette analyse ...

Dans le cadre du Congrès Actualités au congrès AAAAI 2022

Le cyclophosphamide postallogreffe dans la greffe haplo-identique : toujours et encore mais à doses réduitesL'utilisation du cyclophosphamide postallogreffe (CyPA) comme prophylaxie de la maladie du greffon contre l'hôte (GVH) a permis l'important développement de la greffe haplo-identique ...

La mode du “sans gluten” se répand. Un grand nombre de personnes, sans maladie cœliaque, suivent un régime sans gluten, et ce chiffre serait passé de 0,5 à 1,7 % entre 2005 et 2014 aux États-Unis, alors que la prévalence de la maladie cœliaque est restée stable, concernant 1 % ...